When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ                                                                               
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
                                        
                                                                                                            
                                                               
                                          
                     
                     
 
                  
            
                                    
               
                                                                                                                     
                              
                                                               
                           
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez

When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ

Srebrenka K. Tereshchenko
Srebrenka K. Tereshchenko
MessageSujet: When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ When you’re around me, I’m radioactive ;  TERMINÉ EmptyJeu 2 Mai - 4:05



❝ SREBRENKA
Kostyantynovna
Tereshchenko

19 ans ; Serbe & Ukrainienne ; Elève depuis trois ans ;
172cm & 65kg ; cheveux roses & yeux gris
Déficit ambulant, sale teigne toujours prête à jouer des poings et des pieds. Parce que c’était marrant. Hargneuse en plus de ça, et franchement pas élégante. C’est ce qui arrive quand on a grandi comme elle, dans un monde où cette violence est permise. Dans un monde où porter les bons coups au bon moment permet de monter sur le podium. Son père, au début, ne voulait pas qu’elle fasse comme lui, mais que faire contre une paire d’yeux pâles qui vous fixent et qui brillent d’admiration pour vous ? Difficile d’empêcher une gamine qui vous admire de vouloir vous imiter, de vouloir suivre vos traces. Car oui, la serbe voudrait marcher dans les traces de son paternel. Se faire connaître. Osez donc aller lui dire qu’elle n’est pas digne d’une fille, histoire de voir votre état après tout ça.

Enfin, ça c’était avant Falcone. Parce qu’ensuite, ça a changé. Pas le choix, quand on se retrouve face à la vérité, celle-là bien dégueulasse qui vous vomit sur la gueule ce qu’elle est. Elle s’en était rendue compte, de sa connerie profonde, quand elle s’était retrouvée à démolir le portrait de celui qu’elle appelait son frère. Ce sale rat qu’elle ne pouvait que haïr et aimer à la fois. Ce n’était que lorsqu’elle en avait eu avait fini que tout ça lui était tombé sur le coin de la gueule, observant son sang sur ses phalanges égratignées.

C’était bête, si bête.
Et elle devait changer tout ça.

Alors, elle avait accepté la muselière et la laisse. S’assagir, devenir comme lui. Studieuse, brillante. Ça avait été dur, mais voilà, ça avait payé, au final. Trimer comme une malade pour obtenir des notes qui feraient sourire papa et suffiraient à maman. Racheter sa profonde connerie, aussi, même si ça ne se pardonnait pas.

Les règles ici sont différentes, elle l’a compris en passant les portes de Falcone. Et avait dû faire un choix, donc. Rester un chien enragé, qui s’attaque au premier passant, bave aux lèvres, ou utiliser un autre truc dont elle avait été dotée à sa naissance. Sa cervelle. Ah oui, merveilleuse chose que cela, la cervelle. Et l’intelligence qui va avec. Il suffisait juste de l’entretenir. Et c’était cette option-là qu’elle avait choisi. Presque à contre cœur, car au fond de ses tripes, il y avait toujours cette envie de se défouler, de frapper. D’imposer par la force qu’elle n’était pas juste la fifille de son papa, tiens.

Sauf qu’il faut bien admettre que c’est difficile. Garder tout ça enfermé, muselé sans pouvoir se laisser aller. Ne plus frapper, pour ne pas que ça recommence. Se retrouve une fois de plus dans le mauvais camp, une fois de plus le revoir dans cet état. Putain que c’est compliqué. Elle n’aimait pas ça, Srebrenka. C’est que cette bête-là, ça a besoin de liberté, ça a besoin de se défouler. C’est bien son problème, tiens. Trop d’énergie à revendre. Trop de sentiments, trop de sensations qui se bousculent dans sa petite tête, son petit cœur. C’est chiant, tout ça. Ça lui tord souvent les boyaux, mais elle a promis.

Être sage, ou presque. Faire comme si, oublier ses poings qui lui démangent, ce putain de rêve qui illumine toujours un coin de sa tête. Garder la rage dissimulée sous cette crinière rose bonbon et ce visage trop souriant. Le regard brillant de bien des choses. Allez, juste obtenir ce diplôme, quitter les lieux. Leur faire croire qu’elle est bien dressée, sourire encore plus. Sans être trop gentille, ne rêvons pas. Se dire que ce n’est qu’un sale moment à passer, voilà tout. Ne pas baver son envie d’en découdre, juste pour se sentir vivante, encore une fois. Faire comme si on n'était que ça, une fille studieuse, et garder au fond tout le reste.

Ce reste, c’est tellement de choses qu’elle garde sans trop les montrer. Parce que ça ferait revivre tellement de sentiments fouillis qu’elle finirait par flancher. La passion qui mène aux larmes. Cette envie de chaleur, le besoin de quelqu’un pour combler le manque. Même une nuit, même une fois. Être à tout le monde et à personne à la fois. Elle ne sait plus, de toute façon. Elle n’a pas eu le choix d’oublier.
Putain de promesse.
Tout ça c'est du passé.
Bah, y’a pas tellement de truc incroyable à dire, en fait.
Je suis née à Belgrade, capitale de la Serbie. Le Pays d’origine de ma mère. Et pourtant, je porte pas vraiment un nom de famille originaire de là, du tout. La faute à mon père, ukrainien, lui.
On a vécu là quelques années, mais je m’en rappelle pas trop. Très peu en tout cas, j’étais encore une petite fille quand on a quitté le pays et l’Europe pour les US, tous les quatre. Oui, parce qu’il y a aussi mon frère. Petit con celui-ci. On a beau être jumeaux, je le précise, je suis a plus vieille. Actuellement, on peut dire qu’on s’entend, je suppose. Même s’il ne m’adresse plus trop la parole. C’est ma faute, je sais.

Là-bas, c’était tranquille, relativement pépère, même. C’est peut-être le plus chiant, d’ailleurs. Pourtant, mes parents n’ont jamais été des gens calmes, ni des gens vraiment banals. Maman, c’est une femme forte, un peu trop peut-être. Qui réponds et qui tient tête. Elle qui mène la maisonnée, et imaginer désobéir c’est se jeter dans les emmerdes à corps perdu.
De l’autre côté, il y a mon père. Lui, c’est un sacré morceau. Imaginez-le, un bon mètre quatre-vingt de muscles, carré d’épaules et à la gueule visiblement cassée plusieurs fois. Pourquoi ? Parce que c’est son job, quelle question ? Enfin, c’était, maintenant il est trop vieux. Voyez-vous, monsieur est un ancien UFC Middleweight Champion. Du free-fight, quoi. Ou si vous voulez, du cassage de gueule honnête et légal. Si c’est pas merveilleux, ça. On a d’ailleurs déménagé chez les Ricains à cause de ça, pour que ce soit plus simple pour lui, etc. Sauf que le temps de la retraite arrivée, le papa a voulu deux choses. Rentrer au pays d’une part, ou au moins en Europe. Et de l’autre, que ses deux chouchous chéris –nous- aillent dans une bonne école. Alors voilà. Direction Falcone –merci l’argent de papa, tiens-, illico presto.

Et on ne dira pas que c’est aussi parce que je me suis faite virer de mon ancienne école, à cause de bagarres intempestives, d’une bras et d’un nez cassé, hein. Bah vous vous attendiez à quoi ? C’est pas parce que j’ai les cheveux roses et une gueule de crétine que je suis gentille.
Srebrenka K. Tereshchenko
Srebrenka K. Tereshchenko
MessageSujet: Re: When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ When you’re around me, I’m radioactive ;  TERMINÉ EmptyJeu 2 Mai - 13:13



Ça devrait être terminé pour de bon. ê_e
Mr. X
Mr. X
MessageSujet: Re: When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ When you’re around me, I’m radioactive ;  TERMINÉ EmptyJeu 2 Mai - 13:46




« T'ES BONNE ! »
Yo ma poule, t'es tellement bonne que... Plus sérieusement, j'aime bien ton personnage. J'aime aussi ce en quoi il pourrait évoluer. Il est évident que ses cheveux roses ne sont pas naturels. Et je sais que tu le sais, c'pour ça que j'vais te balancer chez les APPESO !. Tu as deux alternatives d'évolutions, c'est pourquoi j'ai choisi ce groupe. Il te va à ravir ~.

T'inquiètes pas, tu vas aimer, et puis, t'as une petite liste de choses à faire :
    ❖ Comme le Listing, afin de garder ton avatar.
    ❖ Faire ta demande de points, afin de mener ton groupe à la victoire !
    ❖ Tu dois également répertorier tes connaissances ici, pour bien montrer ta popularité. ; D
    ❖ Et si tu t'ennuies, rejoins-nous sur la grande chat box, au cas où si la petite te pose problème.

Bien, j'espère que ces liens te seront utiles. Des nouveautés vont certainement arriver avec le temps, il faut juste être patient ou bien passer un peu de temps dans le flood, ça peut être sympa également.

Bon rp et amuse-toi bien parmi-nous !
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ When you’re around me, I’m radioactive ;  TERMINÉ Empty

When you’re around me, I’m radioactive ; TERMINÉ

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» "Parlo molto bene il linguaggio dell'amore" [Terminé]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: PERSONNAGES :: QUI ÊTES VOUS ? :: Fiches validées Ϟ Welcome-
Si vous souhaitez y participer;

Blue note ▬ Bonnie

Que la fête commence ▬ Charlie

Et si je fouinais un peu ▬ London

Quand l'alcool s'en mêle ▬ Aria

On ne choisit pas un livre ▬ Bianca

Le journal !