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ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE

Mary J. Cohen
Mary J. Cohen
MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptySam 11 Mai - 20:12




❛❛ QUAND JE SERAI GRANDE MOI,
J'SERAI POUPÉE GONFLABLE
POUR DES MILLIONS À SE BRANLER
SUR MON ÂME SUR LA TOILE

Mary.
Du désir, elle en avait plein la bouche.
Du désir, elle en buvait dans le creux le plus tendre des torses, elle venait le chercher du bout de ses doigts d'or dans la chair blanche un cou et c'était ses coups d'amour qui en récoltaient les soupirs. Le désir, c'était le bassin de Mary, c'était ses mains, c'était ses yeux même et pire – son sourire. Le désir, il y en avait dans l'air qu'elle exhalait entre deux baiser, elle y en avait dans cette salive devenue alcool, dans cet alcool devenu hydromel – le désir, c'était sa peau, c'était sa chaleur, c'était cette ardeur qu'elle piquait d'attention tout au long d'un dos.
Le désir, c'était Mary – ou presque.
Mary était l'excès, et c'était probablement plus grave que le désir seul sur sa langue.

Elle avait le sourire sur ses lèvres et sur ses yeux.
Elle avait le sourire et la joie qui baignait son corps de sirène à chaque fois qu'elle sentait le corps de Jason contre elle, elle lui seyait mieux que la plus belle des nudités – était faite rien que pour elle.Elle en avait cette certitude, car Mary était toujours certaine de tout, et surtout des choses les plus fausses, comme ses mensonges. Mais la situation actuelle – du désir – n'était pas faite pour lui montrer ce qui tambourinait dans son avarice, sa gourmandise ou sa luxure. Elle était là pour lui. Pour Jason. Pour celui qu'elle comblait de ses caresses, baiser. De ses doigts à ses lèvres. C'était une intrusion spontanée, délicieuse, mais profondément dérangeante. C'était de l'amusement, un grand amusement pour la demoiselle – et elle riait, souvent, deux morceaux d'océans brûlant à la place des yeux, elle attrapait un menton, elle embrassait.
Mary aimait voir les désirs des autres pour la raison la plus égoïste – ça l'amusait.
Mary donnait le plaisir.
Mary procurait la joie.


▬ J'vais te dire ; ça fait presque quatre ans que je n'ai pas touché une femme. […] La preuve, j'en ai envie, mais comme ça fait tellement longtemps, j'ai peur de merder.

Adorable.
Plus il parlait, plus Mary souriait. Plus elle le faisait sienne. La seule. Un amour perdu, un amour déçu, une aspiration entre les lèvres au plus grand des plaisirs – elle aimait définitivement cet homme. Parmi tant d'autres. Quelle beauté ! Ces deux langues se toucher, se brûler, les deux êtres s'embrasaient. Un léger craquement l'interpella, mais n'y prit pas gare. Après tout, elle était dans ses bras, elle se perdait sous ses baisers. Son corps s'offrait entièrement à son amant de cette nuit.


▬ C'est mignon...

Puis elle laissa son rire de rêve glisser dans sa gorge et ses yeux se fermer doucement. Elle les rouvrit, brillants. Un sourire – trop amusé. Sa voix plus grave, plus douce, plus sensuelle.


▬ Un icidio, n'est ce pas ?

Dans sa presque violence.
Dans son comportement.
Elle le repoussa prenant place au dessus.
Un rire encore – puis, un soupir, les yeux qui se lèvent vers le ciel, c'est un souffle lâché presque pour lui même, faussement candide.


▬ Si je m'attire les foudres des velenos, tu me sauveras, hm ? Papa.

C'est un peu trop – c'est un peu trop un mensonge, un peu trop provocant, si bien que ça la fait rire encore, mais, c'est bien connu : le rire de Mary ne s'arrête jamais. Mary – Mary, elle en fait toujours trop. Il faudrait faire attention à ce que ça ne lui heurte pas sa peau hâlée un jour, trop fort.

NE ME MONTRE PAS DU DOIGT
SI JE VEUX TES MAINS D'ABORD.
Ezechiel T. Qaletaga
Ezechiel T. Qaletaga
MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptyDim 12 Mai - 15:53

Hell no.



Mauvaise, très mauvaise idée; battons en retraite.

Le téléphone qui vibre, le texto à peine lu, et tu as déjà oublié ce que tu étais en train de faire. Abandonnant d’un coup toutes les affaires courantes, coupant court à la conversation stupide que tu devais soutenir avec une personne lambda, tu prends le large.

Objectif, le troisième étage.

Discrétion oblige, la clause était bien précisée dans le contrat, tu marche sur la pointe des pieds et fais attention à ne pas faire de bruit. Ton côté hystérique, à la poubelle ; ta manie de hurler sur les gens plutôt que d’agir calmement, oubliée. Provisoirement, du moins, le temps que cette histoire se calme.
Avançant à pas feutrés dans le salon des Velenos, vide. Du moins mets-tu un bout de temps à repérer celle qui a demandé ta présence ici. Planquée derrière une porte ouverte, portable en main. Tu t’approches, grands détours à l’appui pour rester hors du champ de vision des gens de l’autre pièce ; tu la sens mal, toute cette histoire. Finalement, tu arrives derrière la blonde ; une chance que le parquet n’ait pas craqué, ton arrivée a probablement été plutôt discrète.

Penché par-dessus l’épaule de la jeune fille, en voyant ce qu’il se passe, en voyant ce qu’elle a fait, une petite alerte résonne sous ton crâne. Mayday mayday, c’est une mauvaise idée, ça, Bianca. Foncement de sourcil insatisfait ; d’un signe de la main, tu lui fais comprendre qu’il vaut mieux partir, maintenant, avant qu’il ne soit définitivement trop tard.
Tu secoues la tête ; on n’en fera rien, de ces clichés, et vous n’avez rien à gagner à rester ici. Parce qu’il te semble l’avoir reconnue, la demoiselle de la salle d’à côté ; pire encore son partenaire. Jason Knowles, terrorisant en lui-même ; en tout cas, à toi il te fait peur, sous-estimer le danger qu’il représente ne te viendrait pas à l’esprit. De surcroit, mademoiselle est une camarade, fraichement débarquée, certes ; elle n’en reste pas moins une Stupro.

Vous ne ferez rien de ces clichés, quels que soit le nombre de points que leur existence pourrait ôter aux Icidios.
On s’arrache, Bianca. VITE. Tu ignore totalement si son plan envisageait une suite requérant ta présence ici, tu sais juste que tu ne le mettras pas à exécution, quand bien même il serait le plus intelligent du monde. Un geste désapprobateur de l’index puis tu agrippe le bras de ta camarade et repart en sens inverse, suivant exactement le même chemin qu’à l’aller pour exactement les même raisons.

Qu’on ne vous voit pas ; vous n’êtes jamais venus ici. Jamais.

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Invité
MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptyDim 12 Mai - 16:50




« Qui voilà »


MARY ▬ Un icidio, n'est ce pas ?

Grillé.
D'un côté, son comportement ne pouvait pas tromper, mais le fait d'être aussi facilement repérable, c'était légèrement vexant. Ne pouvait-il pas montrer qu'il peut être aussi classe et péteux qu'un Veleno ? Ou bien, un minimum intelligent, comme un stupro ? Bon dieu, rien qu'à cette pensée, il avait envie de dégueuler. C'était pas possible de mentir là-dessus, Jason a toujours préféré être un icidio. Il en était tellement fier, que l'exposer au monde entier n'était même pas un problème.

Alors oui, ma belle.
Ce qui se trouve actuellement entre tes cuisses et sous ta dominance n'est autre qu'un bourrin militaire qui n'a pas touché délicatement la chaire tendre depuis longtemps. Mis à part frapper, plaquer, coincer, et déboîter, il n'a pas fait de gestes sensuelles avec ses mains depuis longtemps. Alors oui, c'était normal pour lui d'abdiquer aussi vite, surtout que bon ; qu'est-ce qu'il avait à perdre, dans l'histoire ?
Certainement pas grand chose.

MARY ▬ Si je m'attire les foudres des velenos, tu me sauveras, hm ? Papa.

Quelle est mignonne.
Légèrement un peu trop sur le jeu du papa et de la fille, mais suffisamment assez mignonne pour oublier le côté glauque de la chose. Qui aimerait se faire appeler papa lors d'un moment pareil ? Mis à part un sale obsédé aux idées pas claires. Dans tous les cas, Jax oubliait pas mal de choses en présence de cette jeune adolescente aux allures bien trop femme pour être considérée comme telle. Petit à petit, il se demandait pourquoi craquer pour elle.
C'est vrai ça, pourquoi ?

Sa candeur ?
Sa chaleur ?
Ses gestes provocateurs ?
S'il devait réfléchir tout de suite, il n'arriverait plus à savoir où il en est. Peut-il vraiment succomber à tout ça ou bien résister, se rhabiller et partir ? Malheureusement, Falcone est un lieu où même les plus forts peuvent se faire bouffer, tôt ou tard. Le soucis, c'est que si un ancien se faisait attraper, il aura alors deux choix ; soit se bouffer la patte pour s'en sortir, soit se venger pour regagner sa renommée. Qui a dit que les Icidios ne sont que des brutes sans cervelles ? Ah oui.
Ces bâtards de Velenos.

JAX ▬ Te protéger de ces gosses de riches à peine sortie de chez papa et maman ? Un rire qui pourrait presque accompagné celui de Cohen, tandis que sa main fouillait la table de chevet, à la recherche d'un objet plus qu'utile. Ils osent même pas se baisser de peur de se salir, alors qu'ils osent te frapper, ça risque de saigner.

Durant sa recherche, ses mains en profitaient.
De cette peau, de ses courbes, de cette odeur, de cette douceur que seule une présence féminine pouvait offrir à un militaire tel que lui. Bien entendu, ce qui était malheureux, est le fait que bon nombres des icidios femelles sont des lesbiennes qui se foutent au même gabarie que les hommes. La belle blague, le jour où une femme pourra tenir tête à un gars physiquement, ça serait quand les poules auront des dents.

Bon, ça vient ?
Manque de bol, Knowles n'était pas connu pour son self-contrôle entre ces quatre murs. Quand quelque chose qui doit se produire ne se produit pas, il avait la fâcheuse habitude de devenir un tantinet agressif dans ses gestes. C'est pourquoi sa main commençait à maltraiter le tiroir qui est censé au moins de contenir une capote. Ah, enfin une prise.
Mais... putain.

JAX ▬ ... Comme quoi, les poches biens remplies sont souvent accompagné d'une petite bite. Il se retenait de piquer une crise, pour une fois qu'il était confortablement bien installé, avec une magnifique proie sur lui, il n'allait pas tout gâcher. C'est une plaisanterie ...

Un rire nerveux.
Les dents serrés.
Et une bosse bien relevée.
Comment pouvait-il profiter pleinement de la chose sans contraception ? Enfin, si, il y en a une, mais la taille marquée dessus était clairement en dessous de la sienne. Non pas que son anatomie était digne d'un éléphant, mais beaucoup plus prometteur qu'une simple queue de 13/15 cm ... Juste une petite pensée pour ce type ; j'espère qu'elle est large. Parce que sinon, pauvre gars.

Et là, il était bien emmerdé.
Car Jason en avait envie. Elle pouvait le sentir à ses morsures légères, à sa poigne sur son fessier ou même à son dos qui doit être brûlant, tant l'excitation l'enflammait de l'intérieur. Son imagination lui offrait déjà la scène sous les yeux. Violente, intense et particulièrement marquante. Car monsieur aimait l'idée de marquer ce cou blanc et attirant, alors pourquoi pas.

JAX ▬ À moins que je te prenne à l'ancienne... Ce qui est pas très élégant, hein ma fille ?

Dire qu'il manquait juste un rempart.
Arf, instinct et raison, acte I scène III.
À elle de voir.


Mary J. Cohen
Mary J. Cohen
MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptyDim 12 Mai - 19:51




❛❛ QUAND JE SERAI GRANDE MOI,
J'SERAI POUPÉE GONFLABLE
POUR DES MILLIONS À SE BRANLER
SUR MON ÂME SUR LA TOILE

Mary.
L'or dans sa bouche s'éteint. Dans un crépitement lent et triste, progressivement vaincu par la banalité, elle mourut sur le bout de sa langue. Le pétillement de son iris éclate une dernière fois dans ces milliers de chocs de malice avant de s'allonger, docile presque, déçu sûrement. L'amusement s'égare – sa folie s'étiole. Elle aurait voulu tellement mieux – elle méritait tellement mieux. Elle était Mary, et elle méritait qu'on satisfasse ses caprices et qu'on lui porte nu la coupe à ses lèvres. Et là, ça ne lui convenait pas. Elle avait oublié le plus important. Elle devait faire des choix. Et les risques étaient beaucoup trop grands pour qu'elle en prenne ce risque. Mary était suffisamment immature pour lui en demander encore, encore plus. Là, elle manquait de palme et d'hydromel, de voiles blancs et de peaux de cuivre, elle manquait de nudité et de soupirs ; là, tout était prévisible. L'or dans sa bouche s'éteignit ; ce n'était pas amusant.

Mary déçue avait la bouche déçue – ses commissures souriantes s'affaissaient légèrement, discrètement car elle se paraît toujours de la joie. Mais là, c'était plus fort encore – car tout était plus fort et plus excessif avec Mary. Elle avait arraché son sourire pour le remplacer par cette moue boudeuse, prêt à planter sa joue dans sa main pour marquer profondément son ennui. Car, là était le problème : elle s'ennuyait. C'était une belle femme et elle était un enfant, paradoxalement. Elle aurait dû, ne serait-ce qu'un peu, infiniment, lui résister, lui montrer son désaccord ou son bouleversement. Elle s'écarta de Jason, suffisamment pour être en désaccord pour le faire. Insuffisamment pour pouvoir lui résister. Mary, elle retomba à ses côtés, nue, chaude. Pleine d'envies, toujours aussi candide, elle embrassait alors son torse remontant jusqu'à ses lèvres.


▬ Sois pas si vulgaire, le dernier veleno que j'ai rencontré était horrible avec moi. Tu sais, dans le genre plutôt sexy, blond, incroyablement sûr de lui. Horrible !

Et Mary extrapolait.
Et Mary souriait prenant des petits airs d'enfant battu. Ah, la vile.
Et Mary changeait de sujets, et Mary avait envie de lui, envie qu'il s'occupe plus d'elle. Elle aurait voulu des cris et de la protestation, elle aurait voulu des gestes erratiques, des supplications, le regard qui trébuche et les genoux qui se dérobent, elle aurait voulu des larmes – des larmes ! Elle aurait voulu tellement plus qu'un banal assentiment – qu'une banale révolte si peu révoltante. Elle avait dit froide, si tiède :


▬ Pfft. Laisse tomber.

Mary reprenait sa moue boudeuse.
Une moue de j'en ai envie, mais pas trop. Je te veux, mais pas trop. On fait l'amour, mais pas trop. Mais ça Mary s'en fichait – elle n'était pas une reine mais une déesse. Elle n'avait pas besoin qu'il le reconnaisse ; elle l'était. Déesse de tout. Déesse de rien. Déesse de l'amour, de la vénalité, déesse des baisers du bout des lèvres. Là elle aurait pu – elle aurait pu garder son sourire et son rire et les faire s'entrechoquer dans la joie et l'excès. Elle aurait pu agiter ses mains souples encore, les battre l'une contre l'autre, l'applaudir, attraper sa mâchoire entre son menton et son index et lui souffler son air de vin droit entre les lèvres – mais, non, ça ne s'était pas passé comme ça. Elle avait abdiqué – où, fait semblant, patiente, mais elle avait abdiqué tout de même. Ils ne feront rien. Sa nuque était tombée, vaincue. Il pouvait y planter son étendard par une douce pression de ses lèvres.
Jason sera son serviteur.

Mary retint un soupir et planta, à défaut de ses lèvres ennuyées, ses yeux d'océan droit dans la roche de sa nuque. Mais elle voyait sa nuque, et sa nuque était belle. La naissance de ses cheveux parsemait le haut de sa nuque de quelques mèches blondes, c'était subtilement érotique. Le dessin d'un fin duvet presque couleur chair gravissait et tombait de cette nuque et elle l'imaginait aisément continuer le long de toute son échine. Elle se redressa, se mettant alors sur le ventre, relevant une jambe. Elle avait sa joue pressée contre sa paume et probablement qu'elle s'ennuyait. Mais elle attendait seulement. La petite princesse.

NE ME MONTRE PAS DU DOIGT
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MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptyLun 13 Mai - 0:51




« Qui voilà »


Putain.
Que ça le gavait royalement d'être à ce point handicapé par le simple manque d'un ustensile. Depuis quand est-ce que l'humanité doit se limiter à un truc en caoutchouc. En clair, peu importe la taille et la largeur de l'engin, s'il n'y a pas ce qui faut pour accompagner la chose, tu ne feras rien. Certes, les maladies et tout le reste sont limités, mais même sur le sachet y a marqué fiable à 99%, le un pour cent restant sont suffisants pour une grossesse.
Alors fuck hein.

MARY ▬ Sois pas si vulgaire, le dernier veleno que j'ai rencontré était horrible avec moi. Tu sais, dans le genre plutôt sexy, blond, incroyablement sûr de lui. Horrible !

...
En quatre ans qu'il était ici, il n'a jamais entendu parlé d'un Veleno blond et sexy. D'un côté, Jason n'a a jamais trouvé un mec sexy. Etant exclusivement réservé à la gente féminine, il se voit mal complimenter un gars sur son apparence physique. Et elle tentait quoi, au juste ? De le rendre jaloux en parlant d'un autre ou bien de voir si oui ou non Jason sera celui qui la défendra de tout et de rien ? Agacé comme il était, juste un froncement de sourcils devrait suffire pour montrer le fait que ça, c'était pas à faire.

MARY ▬ Pfft. Laisse tomber.

Petite once de culpabilité.
Jason pouvait presque s'en vouloir de la laisser comme ça, de lui promettre un truc grandiose alors qu'au final ; il n'y a rien. Et ça, c'était sans doute plus frustrant qu'autre chose, promettre sans rien faire après. Du moins, pour un homme qui a enregistré et toujours veillé à exécuter ses valeurs, peu importe la situation. Réfléchir ? Pas besoin de réfléchir. S'il n'y a pas de pénétrations, il peut y avoir ...

JAX ▬ Tu crois franchement que j'vais te laisser comme ça ? Et il se redresse, tel le brave soldat qui refuse de failler à son devoir.Un Icidio ne parle jamais pour rien faire après...

Doucement, il reprend sa place de dominant.
Doucement, il attrapa ses mains, calmement.
Doucement, il plaqua ses lèvres, fougueusement.
Ce n'était pas par prise de conscience que Jason voulait faire tout ça. Non, lui, il veut juste profiter, offrir ce qu'il a offrir. Ce trop plein accumulé depuis de nombreuses années. Et il a fallu que ça tombe sur cette fille. Plus les langues se touchaient, plus ses mains la dénudait. On ôte les choses gênantes et on abuse pleinement de la situation. Chaque formes, chaque courbes n'étaient pas épargnés, le dos du blondin est la preuve irréfutable de son envie bouillonnante, quand bien même la fin est incertain.
Il lui demandera rien.

Ça descend, lentement. Son cou, sa clavicule, son sein. Quelques morsures, quelques coups de langues. Tandis que la partie inférieur ne cessait d'être débarrassée du tissu qui la couvrait. Enfin, il se redressa et se plaça mieux que ça. Chut ma belle, vue ta petite mine déçue, impossible de ne pas comprendre qu'elle souhaite quand même une petite compensation. Alors ça défile, ça ne s'arrête plus. Jax a faim, Jax est devenu vorace. À un tel point que ses ongles ont fait leur petit marquage. Le ventre, le bas-ventre et enfin, l'inévitable.

Qu'elle dise non, qu'elle mente, il s'en fiche. Cela ne pouvait qu'être un mensonge. N'était-ce pas elle qui voulait être comblée ? Alors c'est ce qu'il fait, pour lui montrer qu'il vaut mieux que n'importe quel habitant de cette étage trop riche pour un gars comme lui. Un coup, deux coups, vint ensuite le troisième, le quatrième et l'enchaînement qui doit venir derrière. Quelques empoignements, les cuisses écartées et des gestes plus obscènes sont en train de se faire.
Seulement, y a un hic.

Plus ça allait, plus son corps exigeait. C'est là, la cruauté du sexe ; impossible de rester le donneur, il fallait aussi recevoir. Et même si sa conscience lui plaquait un beau non en tête, ses instincts sont beaucoup trop en éveillent et ses muscles trop désireux de faire de l'exercice en plus, pour que seule la raison puisse servir de barrage solide pour le contenir plus longtemps.
Désolé, Mary

JAX ▬ ... A-Au diable les conséquences...

Sa main, sa braguette.
Son dernier vêtement, un ultime geste.
Et enfin, les frissons tant attendus après quelques premiers coups de reins. Sans vraiment prononcer autre chose qu'une preuve de son bien être.
Putain, quel égoïste, parfois.


Mary J. Cohen
Mary J. Cohen
MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptyLun 13 Mai - 19:45




❛❛ QUAND JE SERAI GRANDE MOI,
J'SERAI POUPÉE GONFLABLE
POUR DES MILLIONS À SE BRANLER
SUR MON ÂME SUR LA TOILE


Elle soupira à son oreille, ivre de plaisir. Ses bras s’enroulent autour de son cou, sa tête bascule en arrière, elle chuchote son prénom. Ses va-et-vient lui font un bien fou, c’est bon putain qu’est-ce que c’est bon ! À faire l’amour comme des bêtes avides, affamées, enragées, jamais rassasiées. Elle réfugie son visage dans le creux de son cou, ses coups de reins deviennent secs et violents, son souffle est court, le sien haché, elle gémit en serrant les dents. Fais moi mal Johnny, envoie moi au ciel ! Elle griffe son dos, lâche un soupir, se mord la lèvre en fermant les yeux.

Accoudé à son siège, la main soutenant sa royale tête. Alors, Mary avança sa main libre et glissa ses doigts dans sa nuque. Elle commença un doux va-et-vient de caresses dans son cou, longeant son oreille, effleurant de temps en temps ses cheveux blonds. Elle traçait sur la chair de son sujet de petits chemins brûlants, aériens, se plaisant à sentir le grain de la peau fine qui recouvrait sa gorge. Elle glissait du haut de la mâchoire jusqu'à la pointe de son menton. Ces sensuelles caresses durèrent un temps indéfini.

Mary aimait ça. Elle adorait ça. Elle se cambrait sous ses coups de reins. Il y avait de tout. Il y avait aussi le dédain, la violence. L'ignorance, pique venimeuse pour ceux qui recherchent désespérément de l'attention. Les tournants brusques de comportement, pour la déboussoler un peu, aussi. Il y avait tellement de choses que le vil icidio pouvait infliger à celle qu'il voulait voir craquer, ployer sous sa puissance.
Mais il y avait mieux, il y avait pire.

Elle avait cédé. Une fois, deux fois, plusieurs fois. Des murmures, remontant des entrailles, chargés de désir. Des notes, tantôt sourdes, tantôt sifflantes, mais toujours involontaires. Des gémissements. Ces cris muets qu'elle ne contrôlait pas – et c'en était là toute leur saveur. L'amener, elle, au delà de sa volonté, quand bien même elle nourrissait ses muscles à la force de sa détermination – elle n'avait pas d'autre choix. Mary se tordait sous lui. Sa peau, chaude, comme elle l'avait touché, l'attirait. Elle voulait qu'à chacun de ses touchers, elle laisse une brûlure profonde, et ces cris qu'elle aurait poussé lorsqu'elle aurait marqué violemment sa peau l'auraient provoqué davantage, pour sentir ses pulsations s’accélérer encore il aurait resserré sa prise, fort.
Et ce manège, ce doux enfer au goût de paradis perdura.
Sous les coups de reins et de caresses.

END.

NE ME MONTRE PAS DU DOIGT
SI JE VEUX TES MAINS D'ABORD.
Bianca Di Lucio
Bianca Di Lucio
MessageSujet: Re: ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE ILS M’DISENT TOUS QUE TOI T’ES PARTIE - Page 2 EmptyMar 14 Mai - 21:40



PUIS FINALEMENT ELLES S'ENFUIENT
ATTIREES PAR UN TIERS
RETENANT LEURS CRIS
DE VILES COMMERES

Tu es affairée à prendre le plus de clichés possibles, quand ceux-ci paraissent potentiellement exploitables, quand une présence te fait lever le regard. Ezechiel ?! Tu écarquilles les yeux avant de secouer rapidement la tête pour revenir à ton action première. Mais qu'est-ce qu'il fout là ? Dans ton sms tu disais juste que t'allais essayer de prendre des photos d'un Icidio en plein coït !.. Bon ok, c'est juste extrêmement dangereux pour ta survie au sein de l'école, mais... Peut-être que ?- On ne sait jamais. Enfin; Tu sens le rose regarder au-dessus de ton épaule et ça t'agaces légèrement. Tu sais ce que tu fais, voyons !

Cependant, ce n'est apparemment pas son avis puisqu'il agite sa main devant ton objectif pour te dire de partir. Tu tournes la tête et le fusilles du regard pour qu'il reparte et te laisse ici, mais il secoue sa tignasse d'un air désapprobateur, bien décidé à ne pas en rester là, on dirait. Excédée et consciente que tu perds peut-être de bonnes images compromettantes, tu balaies son avis de la situation d'un haussement d'épaules - dont il n'a cure : il te dit "non" en secouant son index et t'attrape le poignet pour t'emmener loin. Putain. Tu te retiens de protester, montrant seulement ton mécontentement par un regard noir dirigé dans sa direction. S'il tourne la tête vers toi, tu le mitrailles.
Va falloir que vous parliez, tout les deux.


RP TERMINÉ
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