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Promenons nous dans les... okay maggle. ♥

Daphné J. Moreau
Daphné J. Moreau
MessageSujet: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptySam 6 Avr - 20:53

Promenons nous dans les... okay maggle.
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« Tous en choeur! »


Daphné était assise à une table en train de boire un verre de soda. Ses cheveux blonds tombaient en cascade jusque dans le creux de son dos et elle regardait passer les gens de ses yeux violets. A l'intérieur du centre commercial ça bourdonnait comme dans une ruche! Des gens sortaient et rentraient de partout, des enfants suppliaient leur parent de leur prendre une glace, des amis entraient dans le cinéma. Bah, si elle connaissait des gens Daphné leur aurait proposé de se joindre à elle dans sa journée "shooping" mais elle ne connaissait pas grand monde à Falcone voyez-vous elle était donc destinée à errer seule dans le centre commercial la pauvre choute. Bref, une fois qu'elle eut terminé son verre elle prit son sac et partit en direction d'un magasin de vêtements histoire de faire un peu de lèche-vitrine.

Est-ce que vous aussi quand vous entrez dans un magasin et que vous passez l'entrée vous priez pour ne pas sonner? Parce que c'est ce que ressentait Daphné à chaque fois, elle croisait les doigts pour ne pas que retentisse l'alarme dans tout le magasin. Elle lâcha un soupir de soulagement quand elle entra et qu'aucune alarme ne retentit, et se dirigea de suite vers le rayon robe/tee-shirt. Bah ouais, en ce moment Daphné était en manque de tee-shirt qu'est ce que vous voulez que je vous dise? Son regard fut attiré par un magnifique débardeur bleu avec des tâches de peinture bleues et roses. Le prix était plus que raisonnable, et avec ce débardeur elle prit un tee-shirt blanc simple avec écrit en noir "Live for dead." Elle alla faire la queue -qui était étonnamment courte pour un samedi après-midi- et arriva à la caisse après seulement une minute d'attente. Elle dévisagea un instant la caissière qui n'était pas si gâtée par la nature -bouton partout sur le visage, cheveux gras-, mais qui avait malgré tout de magnifique yeux bleus. La blonde paya puis sortit du magasin sac à la main.

Elle sortit du centre commercial un instant. Une fois dehors elle sortit un paquet de cigarette duquel elle en sortit une puis l'alluma avec un briquet qui ne la quittait pas de sa main gauche. Elle inspira une grande bouffée puis recracher élégamment un nuage de fumée blanche. Elle resta quelques instant dehors à regarder le ciel gris. Temps de merde, il n'allait pas tarder à pleuvoir. Quand les premières gouttes se mirent à tomber elle pesta puis rentra à nouveau dans le centre commercial. En rentrant, elle faillit bousculer quelqu'un mais l'esquiva au dernier instant.

« Pardon. Je ne t'ai pas fait mal? »

Elle ponctua sa phrase d'un léger penchement de tête vers la droite, sans savoir pourquoi. Ses cheveux blonds coulèrent de son épaule dans son dos et ses yeux violets se mirent à fixer la personne en face d'elle.
Bonnie P. Bradburry
Bonnie P. Bradburry
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptySam 6 Avr - 22:24

promenons-nous - MORUE
► I'M AMAZED ◄


Marla et ses talons hauts ; rouge et noir, la femme au chapeau, la riche Veleno. La jeune fille se dirige de go vers le magasin Chanel le plus proche ; a-t-elle suffisamment dans son compte en banque pour se payer la moitié des models affichés en vitrine ? A cela, Karl répondrait : « Mais c'est une question de pauvre, ça ! »

Marla jette littéralement l'argent par les fenêtres, mais ne trouve pas vraiment intérêt à s'en vanter. Elle se contente d'aller et venir, d'acheter ce qu'il lui plaît sans regarder les prix. Lance un regard méprisant à tous ces petits imbéciles pensant s'acheter une supériorité avec l'intégralité de la dernière collection sortie. Aucun charisme, aucune classe. Vulgaires, avec leurs ragots au coin des lèvres. Laids, laids, laids. Ils ne méritent pas le glissement de la soie sur leur peau.

« Bonjour. » la moindre des politesses ; elle s'autorise un léger sourire en coin. Après tout, elle, vaut bien mieux que toutes ces harpies snob. La jeune héritière n'a jamais eu la joie de connaître cet embarrassant moment où la femme moderne fouille dans son grand sac cabas pour en chercher désespérément son portefeuille ou son chéquier. Marla règle l'affaire en deux-temps trois mouvements, grâce à sa plus fidèle amie, sa gold-card. « Au revoir, bonne journée. »

En cliente régulière, elle a tout intérêt à bien se faire voir du personnel du magasin. Se faire servir avec le sourire est toujours plus agréable que de craindre un quelconque poison dans son plat. Calmement, elle ressort du magasin, comptabilisant mentalement ses achats.

Nyx n'est pas tête en l'air, et vous dira qu'elle n'a pas foncé dans cette blonde sans regarder où elle allait – mais plutôt que c'est elle qui est brusquement apparue dans son champ de vision. Impassible, voire légèrement froide, Marla regarde l'autre s'excuser, jetant par la suite un bref coup d'oeil dans ses poches, histoire de. Jamais trop prudente – et, serait-ce indécent d'admettre que la blonde lui faisait l'effet d'une paysanne ? La cigarette qu'elle avait l'air de savourer quelques secondes plus tôt ne la rend que plus misérable à ses yeux.

« Non. En revanche, te blesserai-je en te disant que cette chose dans ta main- », du menton, elle désigne la cigarette ; montrer du doigt, c'est impoli. « te rend laide et vulgaire? »

C'est le plus sérieusement du monde que la jeune fille a jadis blessé l'égo de dizaines de jeunes filles et de jeunes hommes, croisés à la sauvette ; Marla passe, Marla s'arrête, vous balance le plus naturellement du monde que vous êtes moches, puis repart.


Malik P. Reed
Malik P. Reed
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyLun 8 Avr - 17:44



SI TU BOUGES,
JE DÉGLINGUE.
Malik.
Malik aimait le centre commercial argenté. C’était un lieu qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau : calme, plutôt beau et placide de l’extérieur, pourri à l’intérieur. Il n'aimait pas énormément y trainer en début de journée. Trop de monde. Trop de cons. Trop de Marla. Il n’avait jamais aimé cette gamine. Elle était déjà cassée, l’admettait sans honte aucune et trainait sa carcasse d’idiote un peu partout. Pathétique. Et en plus, son style trop emprunter lui avait enlevé son reste d’innocence, ce petit détail qui pouvait, éventuellement, la rendre « mignonne »… Sa dernière utilité. Maintenant, ce n’était plus qu’un débris humain qui errait mollement à travers le monde, lassant par son manque d’énergie et sa désillusion constante. Malik soupira doucement, en s'approchant du petit groupe constituée d'une campagnarde et de Marla. Allons bon, il voulait du repos, il avait frappé assez de gens comme ça, ces derniers temps. C’était désagréable pour lui, de voir comme la violence l’envahissait petit à petit. Il avait toujours son machiavélisme, mais qu’en était-il de son calme ? De plus en plus, il utilisait ses poings avec ses mots. Et il ne voulait pas devenir une brute sans cervelle.

« Tiens, mais qui voilà… Laide parmi les laides. »

Un sourire, canin, et il s’élance, marchant vers elles avec une élégance féline, étrange mixe entre deux races qui combattaient en lui. La poussière d’argent l’a recouvert, petit à petit, et il brille d’un éclat propre aux gens du spectacle. Ça lui va si bien, lui qui aime jouer avec ses proies comme un acteur avec ses spectateurs. Il aime les emmener dans son monde, leur créer un imaginaire où la démence et la peur se partagent le pouvoir. Il aime briser les gens, Malik. Il l’a toujours aimé. Lentement, presque séducteur, il glissa jusqu’à Marla pour effleurer lentement sa joue. Il passa derrière elle, imposant, glissant ses bras sur ses épaules.

Malik n'est pas gentil, il ne l'a jamais été. C'est un con, un vrai, de ceux qui se délectent de la souffrance des autres, de ceux qui sourient en voyant la douleur. Malik aime voir souffrir, Malik aime voir pleurer, Malik aime la peur. Et Marla sera remplie de cette peur viscérale, de cette frayeur incontrôlable. Le demi sourit en voyant la petite fuyarde un peu plus tôt rencontrée - et son sourire est si froid, si machiavélique. Il se réjouit de ses mouvements, de ses phrases ainsi balancées. Elle était toujours aussi inutile, à parler sans rien de plus. Parler, il se réjouit d'imaginer ses entrailles nouées... Avant de glisser ses doigts dans sa chevelure brune, aw, Marla que tu as de beaux cheveux. Il tira peut être un peu force, involontairement. Assez pour qu'elle se retrouve à terre, pauvre Laide. Assez pour qu'involontairement, sa jambe s'abattit sur le ventre délicat de Marla. Ne meurs pas maintenant, jeune fille.

Malik jeta un regard en biais à la campagnarde. Plutôt pas mal, s'il n'avait pas été occupé à fracasser le ventre de Marla, peut être lui aurait-il parlé. Peut être.



Sous l'acide des pluies.


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Invité
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyMar 9 Avr - 14:18


« Et un petit coup de pied pour la route, un ! »



Cela faisait déjà un moment qu’il se baladait, sans réel but dans les alentours du centre commercial. Endroit où tant d’étudiants se baladaient, ou encore bien d’autres idiots qui vivaient à Rome. Ces gens qui faisaient pas mal de bruit pour finalement… Pas grand-chose en fait ; un peu comme les riches de Falcone. Tous ces bourges qui donnaient la nausée à ce pauvre petit Sting… Bon petit c’est pas vraiment le cas, m’enfin soit ! Le blondinet n’avait pas l’envie de se retrouver encore avec une bande d’imbécile qui ne ferait que lui pourrir la journée : d’où le fait qu’il se baladait seul.

Mieux vaut agir en loup solitaire plutôt que de se faire chier en groupe… C’est vrai quoi, imaginez un peu ce pauvre Sting se retrouver dans un groupe où il n’y a… Que des personnes qu’il ne supporte pas. Qu’est-ce qu’il aura envie de faire ? Leur casser la gueule, tout simplement. Pareil pour les Veleno, faut pas croire ! Rien que voir leur tronche de riche le gonfle. À un tel point qu’un bon coup de boule le soulage vraiment, quand il en a l’occasion. En gros, c’est un tout le temps parce que dès qu’il en voit un, il lui foncerait presque dessus.

D’ailleurs, c’était la journée des fils de bourges ! La preuve, il avait croisé une bonne vingtaine de riches qui s’amusaient à s’acheter des vêtements hors de prix. Bon sang qu’est-ce qu’ils peuvent être stupide ces gens ! Pire que des bouffons. Il se demandait même pourquoi ils allaient payer aussi cher, alors que pour énormément moins, on pouvait obtenir quelque chose d’une meilleure qualité… Ah oui, c’est vrai, la marque ! Tout simplement. C’est comme cet effet de mode « Ouais j’ai des produits Apple et cey trop bien ! »… Ta gueule. Oui, voilà, comme ça, ta gueule. C’est plus simple ainsi vous ne trouvez pas ?

Quoi qu’il en soit, dans sa petite balade, il fut intrigué par quelque chose de bien précis : une blonde qui semblait avoir un petit « accroc » avec une autre fille qui semblait… Être une bourge. OH MON DIEU ENCORE UNE ! Et vu la tronche qu’elle avait, obligé elle dépensait tout dans des conneries pas possibles. Bonjour la journée. Bref, il se disait que peut-être il allait se contenter d’observer ça, mais quand il entendit les paroles de cette fille bourgeoise, il ne put s’empêcher de rager intérieurement. D’où elle lui vole son rôle du « je t’insulte parce que j’en ai envie » ?! Nan mais ça va pas la tête ?

D’ailleurs son chapeau… Qu’est-ce que ça faisait ridicule bon sang… Elle avait tout sauf un air « classe » en fait… Autant préparer ses mains à donner de bonnes paires de gifles, parce que là, elles étaient justement en promotions ! Mais dommage pour lui, il avait été devancé par un grand bonhomme… Il dépassait Sting d’une tête facilement. Un géant… Et bizarrement, il avait l’air tout aussi désagréable… Puis paye ta façon de faire le beau gosse quoi… C’était à croire que des gens encore plus con que Sting, y en avait partout ! Surtout ce trio en fait… Une fumeuse blonde, une bourge qui se faisait piétiné –ironique d’ailleurs- et un géant qui semblait tout sauf pauvre…

Il s’approcha, oui, Sting décida enfin d’entrer en scène, mais cette fois-ci, il n’avait pas du tout l’intention de faire son apparition de manière « calme ». Oh que non. Il se dirigea dans le dos du grand brun, avant de lentement lever sa jambe et l’abattre, involontairement bien sûr, sur le bas du dos de celui-ci. Il ne le connaissait pas, mais voir son comportement lui suffisait pour comprendre de quel côté il était. Ce n’était clairement pas un Icidio. La seule possibilité qui lui venait à l’esprit, c’était qu’il soit un Veleno, et quoi qu’il arrive, il avait raison, un point c’est tout. Il avait d’ailleurs frappé assez fort pour faire tomber le grand bonhomme à terre, soit dit en passant.

« Ah désolé, j’ai pas fait exprès ! » Dit-il en souriant, faussement bien sûr, avant de finalement enchaîner avec un regard un peu plus mauvais. « Tas de merde va… » Envie de délicatesse ? Envoyez Sting au 69 69.


codage par langweilen sur apple-spring

Daphné J. Moreau
Daphné J. Moreau
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyMar 9 Avr - 20:37

Promenons nous dans les... okay maggle.
Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  Tumblr_m9oz1hZvnj1ru1wbho1_250Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  Tumblr_m9oz1hZvnj1ru1wbho2_250
Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  Tumblr_m9oz1hZvnj1ru1wbho3_250Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  Tumblr_m9oz1hZvnj1ru1wbho4_250
« Tous en choeur! »


Pitié retenez-moi avant que je me jette sur cette fille au chapeau, quoique non laissez moi me jeter sur elle je vais le lui faire bouffer par la bouche, et la regardai s'étouffer devant moi avec un regard méprisant. AAAAAAAAH CE SERAIT TELLEMENT JOUISSIF SI SEULEMENT JE NE RISQUAIS PAS LA PRISON EN FAISANT CA. TANT PIS. Daphné se contenta de la regarder, et rien que pour la faire chier elle prit une bonne bouffée de fumée et la lui recracha dans la figure pour ensuite écraser la cigarette contre un banc non loin de là, et elle la foura ensuite dans la main de la teupu. HEIIIIIIIIN DANS TA GUEULE SALOPE TU L'AVAIS PAS VUE VENIR CELLE-LA HEIN? FRAPPE-MOI SI TU L'OSE. Elle la détailla de haut en bas, de ses chaussures à son chapeau. Sérieux. Elle portait un chapeau moche et elle osait venir lui faire la morale? Non mais pour qui elle se prenait cette garce là? Qu'elle retourne chez elle chouiner parce que sa carte de crédit était vide. Pfeuuuuh, les gens comme ça écoeuraient Daphné si bien qu'elle lui répondit sans sa sympathie habituelle.

« Hmmmm, ma chère je pense avoir passé l'âge que l'on me dise ce que je fasse donc ne vient pas me parler et retourne faire tes boutiques pour acheter tes vêtements hors de prix pétasse. »

Elle n'eut pas le temps de terminer qu'elle vit un garçon s'approcher pour glisser doucement les bras autour d'la garce au chapeau. Oh non ne me dites pas qu'elle avait un petit ami sinon Daphné va.... OUAIIIS MON GARS C'EST BIEN PUTAIN JE T'AIME OUI C'EST CA TIRE LUI LES CHEVEUX OUI MAIS.... Merde, mais t'es un psychopathe on frappe pas les gens comme ça même si ce sont des putains de garces de merde. Je t'aime quand même p'tit brun. Daphné continuait de se délecter de l'image de la fille par terre, sans même lever le petit doigt pour l'aider. Elle l'avait prise de haut wesh, elle la ramasserait plus tard. Les personnes qui étaient situées à proximité les regardaient avec curiosité et crainte, mais Daphné se contentait de leur jeter des regards du genre "Ooooh bonjour, vous pouvez passer votre route. Sisi, j'vous jure tout ira bien il n'y aura aucun mort juste des blessés. "

Bref, elle n'eut que le temps de faire un petit sursaut quand un blond -OOOOH UN COMPATRIOTE BLOND KRR KRR /PORTE/- arriva pour mettre à terre l'agresseur de la fille au chapeau. Bon, maintenant il y avait deux personnes à terre et deux blonds debout. Wesh vive les blonds. Ou pas ouais, ou pas. Elle se contenta de regarder le blond foutre un coup au brun sans rien faire elle n'aurait servi à rien puis elle cria après quelques secondes de gros blanc.;

« MAIS MAIS.... MAIS PUTAIN VOUS AVEZ TOUS DES PROBLEMES DANS VOS TÊTES. PURÉE. »

Daphné inspira profondément puis expira en aidant les deux à terre à se relever même si la garce ne méritait pas son aide. En fait non elle ne leur laissa même pas le choix, elle leur prit la main puis les tira avec force en les relevants l'un après l'autre, non sans le faire violemment pour la biatch. Bon, elle se ferait sûrement rembarrer mais au pire elle les emmerdait dans ce cas là. Elle soupira un " Hepiniz hastasınız, allah allah"sans faire attention puis en bonne Appeso elle continua;

« Hrrrm, je disais et si nous nous comportions comme des gens civilisés? Ou alors vous pouvez toujours aller vous entretuer dehors, ça salira moins le sol hein. J'dis ça j'dis rien. ~ »

Ta gueule Daphné, ta gueule. Tu ne comprend donc pas que cela ne servira à rien que tu dise quelque chose ou non? Ils n'en ont rien à foutre de toi ils se battent les uns contre les autres, tu n'es qu'un fantôme placé entre eux qui ne sert à rien d'autre qu'à décorer. La blonde se contenta donc de les regarder puis de les fixer avec ses yeux violet en rabaissant son tee shirt noir par dessus son jean blanc. Elle fit un demi-pas en arrière puis revient à sa place initiales en regardant ses basket noire, tout en redressant les manches de son gilet blanc. Bon, soit ils allait tous lui hurler "Ta gueule" soit ils allaient se foutre du fait qu'elle ai hurlé. Voilà quoi.

Traduction. ô/:
Malik P. Reed
Malik P. Reed
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyMer 10 Avr - 20:37



SI TU BOUGES,
JE DÉGLINGUE.

Malik, le gosse qui rêvait de gloire. Toutefois, en le regardant bien, en fixant un instant un regard inquisiteur dans ses yeux sombres, on retrouvait bel et bien notre Malik. Il semblait déplacé dans c'moment, à l'ambiance d'habitués, comme s'il appartenait à une autre époque. Il passa sa main dans ses cheveux hirsutes, trop indisciplinés et renonça à leur donner une quelconque forme. Il darda son regard antipathique sur son voisin de droite, qui se déplaçait ostensiblement pour s'éloigner. Notre tendre héros se mordit la langue comme pour contenir le venin qu'il lui montait aux lèvres. Ce mec cherchait la merde.

Le mec avait une allure de boxeur. Pas seulement comme sportif, mais également en combattant éternel, constant et fidèle contre la vie elle-même. Une aura de provocation, de danger et de haine facile l'entourait, irradiant comme une foutue couronne d'aubépine. Un semblant de vie, un morceau de jeunesse.

« Sale petit connard. »


Il ajouta un bang bang avant de rejeter la tête en arrière pour lancer un rire, tel un aboiement de chien malade, massant son dos, l'air de rien. Enculé, je vais t'enfoncer ton putain de pied dans le cul. Avait-il presque dit entre ses dents. Son estomac sembla se contracter puis s'amuser à faire des acrobaties. L'impression d'avoir de nouveau 16 ans. Comme un trou dans le carapace de l'âge adulte, une fêlure qui s'agrandissait et faisait voler le tout en éclat comme du verre. Il ne sut pas s'il aurait dû lui foutre son poing dans le nez ou bien lui sourire, ou bien alors ne rien faire. Il le fusilla du regard un bref instant, cherchant quelque chose une faille. Et puis son tempérament animal reprit le dessus.

Il lui attrapa littéralement le col, l'amenant à lui, et se mit consciencieusement à lui foutre un coup de tête. Quoi de plus classe ? Bouches tirée, yeux renfrognés, traits déformé. Entre deux coups il articulait un ou deux mots. Alors enculé. Il frappe sur l'arcade. C'est comme ça. Le nez prit cher. Que tu dis. Salut.





Sous l'acide des pluies.


Bonnie P. Bradburry
Bonnie P. Bradburry
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyDim 14 Avr - 21:26

promenons-nous - MORUE
► NAUSEA ◄



Marla détaille lentement la blonde ; elle ne connaît même pas son nom. Un sobriquet banal, sûrement. Aussi faussement brillant mais, au final, fade qu'elle. Qui s'abreuve de clichés et vous les ressort fièrement, avec la précision d'une leçon bien apprise.

Sans l'arrivée de Malik, aurait-elle seulement prit la peine de lui répliquer ?
Malik. Un beau salaud – dommage que sa fâcheuse tendance à s'enlaidir de part ses paroles et ses actes soit si présente chez lui.

« Oh... Mais que vois-je ? »

Elle n'aura pas le temps d'achever sa phrase ; son coup lui coupe le souffle, la cloue au sol. Connais-tu la loi du triple retour, Marla ? Non ? Eh bien, la voici bien présente, jusque dans ton ventre douloureusement contracté. Elle ne crie pas, elle ne hurle pas, et ne gémira sûrement pas – c'est dans un silence presque effrayant qu'elle tente de calmer son rythme cardiaque. Même plus la force de suffoquer. C'est qu'il frappe bien, le bougre. Vite et fort. Pour un peu, elle en aurait presque admiré la technique ; presque. Si elle ne savait pas ses mains salies par la cendre des cigarettes, si elle ne le savait pas contaminé tout entier par la gangrène des soirées, de l'alcool, des dépravés.

Marla se relève difficilement – bien peu dignement. Mais qui sera là pour relever sa faiblesse ? L'autre se bat avec un autre ; la blonde... Vraiment, elle ne l'intéresse pas, ou plus. Il lui fallait juste ouvrir les yeux sur sa laideur. Nyx s’époussette ; remet son chapeau. Suffoque, encore. Tangue, légèrement. Puis reprend son port de tête altier, enfin. Malik payera. Elle n'est pas aveugle; sait pertinemment que, dans la violence dans laquelle il est entrain de partir, il est inutile de tenter quoi que ce soit. Mais, c'est une certitude... Marla se vengera.

« Deux bêtes se battant pour... Pour quoi au juste ? C'est d'un ridicule. »

Soupirant, elle se cale contre un mur ; histoire d'éviter de se casser lamentablement la figure. D'une curiosité morbide, elle observe les deux jeunes hommes se détruire chacun leur tour – du grand spectacle. Pour un peu plus, elle en rirait.


Malik P. Reed
Malik P. Reed
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyDim 28 Avr - 19:45





Malik en avait assez.
Peuple de bouffons. Peuple de Marla.

« Vous m'soualez »

Normal, tout le monde soulait Malik, mais là n'était pas la question. Le tout était de savoir s'il avait l'intention de partir ou pas. Il prit quelques secondes pour réfléchir, le regard perdu dans le vide, en proie à une intense réflexion censée et profonde - ou pas -, l'air vague, l'esprit perdu, envolé, parti au loin. Disparu ! Alors après de très longues secondes à attendre qu'un éclair de génie traverse sa tête, il eut une légère exclamation de surprise, la bouche en cul de poule, les épaules relevées. Était-ce le signe qu'il était sur le point d'avoir une attaque ? Peut-être, si bien que son interlocuteur lui lança un regard interrogatif - mêlé à cela une expression de profond agacement -, se demandant certainement combien de temps il devrait attendre pour voir Malik tomber raide, silencieux. Un doux rêve, Malik avait stocké beaucoup trop de vies en dix neuf années pour mourir aussi facilement ; pour ce qui était de se taire, c'était tout autant improbable, il fallait l'accepter ! Alors quand Malik retrouva son improbable assurance avec un sourire de connard fini, de connard dont la vie est parfaite, tout le monde savait qu'il était temps de prendre ses jambes à son cou. Et fuir, très très loin.
Il regarda Marla, un p'tit sourire en coin.

« Tu m'étonnes que personne ne veuille te baiser, pauvre fille. Pauvre fille. Tu pourras toujours demander à ton papa. »


Oh, l'affreux.
Il se souvenait avoir déjà fais pleurer les filles.
Plusieurs fois durant les idioties de l'enfance, son insouciance et sa légèreté. C'était bizarre mais tout lui revint en mémoire comme une page Windows d'urgence très encombrante. Il avait devant les yeux toutes ces images auxquelles il n'avait jamais vraiment réfléchi, auxquelles il n'avait jamais voulu se raccrocher. Car s'il pouvait dire avec simplicité qu'il avait détesté être adolescent, il ne parlait pas de son enfance. Pas souvent. Trop de regrets par rapport à cette époque où tout était facile, accessible, possible. Où la vie semblait à notre porté, où on pouvait dominer le monde en relevant le menton et en criant fort. Le reste il le laissait à ses souvenirs heureux, ceux dont il ne voulait pas véritablement entendre parler à nouveau. Ouais, Malik en avait fait pleurer.

Et Malik n'allait pas tarder à s'barrer.



Sous l'acide des pluies.


Bonnie P. Bradburry
Bonnie P. Bradburry
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyLun 29 Avr - 20:45

promenons-nous - MORUE
►NO MORE◄




Marla regarde Malik ; Malik regarde Marla. Non vraiment, les deux n'auraient jamais du se retrouver dans la même division ; implosion à venir. Elle détourne le regard le temps de jauger les autres personnes présentes ; tsk. Une blonde portant atrocement bien sa couleur de cheveux. Un sauvage. Un Malik, et ce sera tout. S'époussetant une dernière fois, Marla récupère ses achats, sa poche Chanel. Le ciel commence à s'obscurcir – talons aiguille sous la pluie, vous avez déjà essayés ?

Pas comme s'il restait âme qui vive suffisamment digne de son intérêt dans les parages, de toute façon. Y'en avait-il seulement eu aujourd'hui ? Sûrement pas.

Coup de pied à Malik ; coup de talon, coup là ou ça fait mal. « Tu m'agaces. Pauvre garçon. Tu as un don certain pour déformer les choses ; je refuse que des gens de ton espèces me... Baisent. Manque de chance, Falcone est rempli de personnes de ce genre-là – de ton genre. » Méprisante ; le coup passé, elle retrouve ce ton acide qui la rend si... Marlesque. « Vous n'avez qu'à baiser entre vous ; pourritures parmi les déchets, merdes parmi les merdes. »

C'est qu'il commence à la rendre vulgaire ; mauvais, ça. La coopération sera dure, peut-être impossible. Marla ne pense que pour elle ; les Veleno ne sont pas un groupe, mais une filière, une simple filière.

Peut-être devrait-elle commencer à se socialiser. Son ascension ne se fera pas sans aide. Toujours est-il que l'esprit de groupe et la fibre hypocrite, elle est encore loin de l'avoir saisi. « Allez, je te laisse avec l'autre laide. Puissiez-vous vous marier, avoir dix enfants tous plus misérables les uns que les autres et mourir de toutes les maladies que vous vous serez refilés. »

Cette escale était tout simplement une perte de temps ; une cruelle perte de temps.

A l'avenir, Marla évitera de se montrer aussi miséricordieuses à l'envers de ces pauvres pouilleux.

Daphné J. Moreau
Daphné J. Moreau
MessageSujet: Re: Promenons nous dans les... okay maggle. ♥ Promenons nous dans les... okay maggle. ♥  EmptyMer 1 Mai - 15:26


Promenons-nous.... ♫
CODAGE - EXCEPTION DE LG


La fille et le gars partirent dans une sorte de dispute glaciale. Daphné faisait comme si elle n'entendait rien et les laissaient se disputer entre eux tandis que l'autre blond ne faisait plus rien. D'un coup, elle jeta un regard glacial à la garce. Trop c'est trop. Cette fille commençait sérieusement à la faire chier, et Daphné continuait de la toiser de haut. Quand la gosse de riche commença à la traiter de merde -avec les deux autres garçon au passage- elle crispa ses poings et se retint de toute ses forces. Pas maintenant, plus tard. Et quand elle fit mine de partir, Daphné alla vers elle et la toisa du haut de son mètre quatre vingt douze. Elle lui fit un sourire glacial et lui dit d'une voix sifflante;

« Pétasse. Dégage sinon je te jure que je vais.... »

Mais elle n'écouta même pas ce qu'elle lui disait et disparut dans la foule avec son chapeau de pute sur la tête. Daphné se retint de lui courir après et de la foutre par terre pour ensuite la ruer de coup. Elle ne le fit pas parce qu'elle état sensée être gentille. De toute façon elle la reverra à Falcone et LA elle la tuerait. Elle regarda autour d'elle avec un regard meurtrier, et remarqua quelque chose par terre. Elle s'approcha un peu plus et vit un bracelet. Marla devait sûrement l'avoir fait tomber après s'être fait frapper par le métis brun. Elle fit exprès de faire tomber quelque chose de sa poche et ramassa le bracelet de Marla en même temps. Elle le lui rendrait plus tard, quand elle la recroiserait. Une phrase sortit toute seule de sa bouche, comme si elle se parlait à elle-même mais à voix haute.

« Quelle pétasse. »

Elle passa sa main droite dans ses cheveux blonds en lâchant un soupir, le modne devenait de plus en plus désespérant.
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Promenons nous dans les... okay maggle. ♥

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