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DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre.

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London Howell
London Howell
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyVen 3 Mai - 18:54






‘‘

▬ Runaways

DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 1367404492-sans-titre-1

LH. Mince. Mon mensonge n'était visiblement pas aussi convaincant que ce que je voulais croire. Pourtant, tout semblait coller. Je ne comprenais pas. J'avais l'habitude de mentir, que ce soit à ma famille, mes amoureux ou mes amis. Je n'avais jusque là que rarement été prise sur le fait... Et je n'avais juste que là que rarement eu à avouer la vérité après avoir menti. Cette affaire de SDF m'avait vraiment perturbé. Il me restait deux solutions. Je pouvais mentir de nouveau, en essayant d'être plus convaincante... Mais il me fallait trouver autre chose à dire et je dois reconnaitre que j'étais à court d'idée. Je pouvais également dire ce qu'il s'était vraiment passé, sans nécessairement dévoiler les soupçons que j'avais. Qu'est ce que ça allait être désagréable ! Cette journée était définitivement affreuse. En voulant quitter l'enfer de l'école j'avais trouvé un autre enfer. Je décidais quand même d'être sincère, omettant bien entendu mes interrogations. Arrivée depuis peu dans l'école, je ne savais pas très bien dans quel camp se situaient les surveillants et les professeurs.

Je pris un cookie dans la boite qu'elle me tendait, croquai dedans et attendis d'avoir fini ma bouchée pour lui répondre.

▬ Pour être honnête, il y a eu un petit incident tout à l'heure. J'étais allongée sur un banc au soleil quand... Le SDF s'est installé sur moi en me couvrant la bouche de sa main répugnante. Il a du avoir peur de je ne sais pas quoi car il est parti quelques secondes plus tard.

Après avoir fini le délicieux biscuit, je repris avec un sourire, et un ton un peu hautain qui me seyait bien.

▬ Je suis retournée le voir pour l'insulter. C'était répugnant et désobligeant ce qu'il a fait. Il n'a pas bien reçu mes remarques donc je suis partie pour éviter qu'il m'agresse une seconde fois. S'il le faut, j'en parlerais à la direction de la gestion du Colisée. Je présume qu'il n'est pas légitime qu'un homme comme lui soit aussi proche de ce merveilleux monument.

Je commençais à comprendre pourquoi mon précédent mensonge n'était pas passé. Il était évidement que je n'étais pas le genre de fille à rendre service à un clochard. Même si j'étais consciente de le savoir, c'était probablement aussi marqué sur mon front en grosses lettres noires. Allait-elle accepter ces justifications ? Si ce n'était pas le cas, je ne parlerais pas plus. Me ridiculiser une fois c'était fait. Je ne pouvais plus revenir sur ce que j'avais dit, et j'avais déjà du mal à l'accepter. Je n'allais tout de même pas la laisser dire que j'avais menti deux fois. Ce qui n'était pourtant pas si faux. Néanmoins, elle ne pourrait pas déceler le mensonge avec autant d'aisance que pour le premier. Ou alors c'est qu'elle avait assister à la scène et écouter le dialogue.
Precious Taijah Hogan
Precious Taijah Hogan
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyVen 3 Mai - 19:09



DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 Tumblr_m5vvqkBEer1rz5uqco1_500

What a whore
She's laughing at you, ahah.

Precious est une chasseuse, une bête sauvage attentive à tout ce qui l’entoure. Le moindre mouvement, le moindre bruit est noté, classifié, interprété, parce que l’attention amène la connaissance, et la connaissance entraine la victoire. La grande brune ne perd pas ou, du moins, n’aime pas perdre. Elle a déjà subi une défaite, contre son propre corps. Elle a subi une défaite, et elle souffre d’avoir osé se briser ainsi, elle souffre d’avoir cédé, ne serait-ce qu’un instant, ne serait-ce qu’un peu. Elle souffre d’avoir montré que le loup qu’elle était pouvait aussi être un chiot, un animal pathétique. Elle a mal là, au creux de son ventre. Elle a mal d’avoir perdu. Alors, elle a besoin de gagner encore, de marcher, de briser, d’écraser ces êtres faibles pour montrer qu’elle n’est pas comme eux – NON, JAMAIS !

Daphné a sursauté et est tombée. C’est une preuve : elle n’est pas attentive, elle n’est pas à l’écoute de ce qui l’entoure. Daphné a confiance. Daphné n’a pas peur. Daphné ne craint pas, et ceux sont ces proies, un peu troublées, un peu égocentriques, que Precious préfère. Que Noah a préféré. Ceux sont celles qui ont le plus mal, quand elle en a fini. Celles qui sont tous seuls pour se reconstruire. Il n’y a aucun doute : Precious arrivera à briser cette gamine, petit à petit, minute après minute, et elle ne rendra à Liam qu’une épave. Elle le fera craquer. Elle le fera devenir fou et, d’un coup d’un seul, il sera brisé comme une brindille. Les appesos sont idiots : à force d’être trop gentils, on finit par se blesser. Precious fût probablement la première à éclater de rire en voyant Daphné tomber à la renverse. Ah. Pauvre enfant. Et voilà que l'autre amenait sa fraise.

« Et s'il y avait une fourche à côté de ce tas de merde, ou une bouteille cassée, t'aurais fait quoi ? Payé pour masquer l'accident, peut-être ?! »

« Pourquoi payer pour une vie aussi inutile ? Elle est pauvre, elle ne vaut rien. C'est une grande blonde, elle trouvera bien un bordel ou se poser. Tu les bordes beaucoup trop, Liam. »

Une constatation, qui amenait forcément une suite plutôt désagréable. Après tout, même s’il n’y avait pas été dans la dentelle.

« Mr. Bates, pendant deux mois, vous serez de corvée dans le quartier des Appeso, vous aller nettoyer chaque chambres, chaque douches, chaque. Ou alors je vous retire 120 points pour fréquentation avec un élève d'un autre groupe. Vous choisissez. »

« Pourquoi ne pas retirer des points à Daphné ? Elle est aussi fautive que Mr Bates, après tout, elle manque cruellement de coordination pour être tombée aussi bêtement. On devrait punir la stupidité. »

Elle rit intérieurement. Sauf que la moquerie se transforme en bonne humeur. Precious joviale, une princesse qui rigole à gorge déployée. Mais pourquoi, me direz-vous ? Precious n’est pas bête, elle sait que les gens qui rigolent sans raison ont l’air bien plus ridicules que séduisants. Elle sait aussi qu'elle détient toutes les cartes entre ses mains – comme le personnage délicieux qu’elle est – et elle poursuivit :

« De plus, vous laissez vos élèves se faire agresser par des clochards. Mais qui plus est, vous giflez les velenos pour passer vos frustrations passées. Et ce, en dehors de Falcone, donc en dehors de la juridiction de Mr Cerrucci mais pas celle de la ville. Vous souhaitez peut être que je porte plainte contre vous ? »
Et elle rit, le regardant langoureusement. Aw, comme vous me faites plaisir. S'il pouvait être plus discret. C'était bel et bien un ex-appeso.

Daphné J. Moreau
Daphné J. Moreau
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyVen 3 Mai - 20:22


Dieux de l'arène.
CODAGE - EXCEPTION DE LG


‘‘ Daphné s’apprêtait à répondre quand elle vola loin, très loin et atterrit dans du crottin de cheval, le tout en se cognant magistralement la tête sur le sol dans un gros "BAOUM". Un léger craquement se fit entendre, et elle resta comme ça allongée par terre pendant un bon bout de temps en train d'agoniser. Ses cheveux blonds étaient dispersés dans tous les sens, le côté droit de sa tête était collé au sol tandis qu'elle entendait la voix du conard -ou de la connasse- qui avait fait ça. Bon, on peut dire que c'est son karma qui avait parlé mais bon, elle n'avait pas été si violente que ça avec la blonde.. maibon cépagraaave. Ne bougeant plus, Daphné commença par bouger le bout de ses doigts, puis les poignets et ensuite les mains. Un bruit sourd résonnait dans sa tête comme un grésillement, et elle ne pu retenir un gémissement quand le petit Ren la redressa brusquement. Elle valsa un instant sur ses deux pieds en se tenant la tête et ne prit pas la peine d'écouter sa conversation. Elle remarqua juste la marque rouge sur la joue d'un élève situé près de Ren. Pendant la conversation elle ne murmura qu'une chose pour elle-même.

« Putain ma tête..»

Puis elle se tourna, toujours en train de se tenir le crâne, vers Mme. Hogan.

« Pauvre ou pas on s'en fouut après quelques secondes pause -obligée par la douleur qui lui tiraillait le crâne elle continua, Oh et ne me hurlez pas dessus, j'ai autant le droit de vous parlez comme ça que vous vous parlez de moi. »

Elle soupira ensuite un bon coup, souffrant de martyre. Elle commençait à avoir la tête qui tournait -ça se trouve elle avait une commotion cérébrale.. TT- et tout ce monde qui parlait et parlait ça commençait à lui taper sur le système.

« Ou sinon pour ne pas faire une polémique autour de ça tout le monde ferme son aurifice buccal et on dira que j'me suis cassée la gueule comme ça tout le monde sera content ok?!»

Elle se tourna ensuite faiblement vers le Veleno qui venait de la pousser et lui jeta un regard noir, puis elle se rendit compte qu'elle puait le crottin. Elle se rappela qu'elle avait garder un boxer qui lui arrivait mi-cuisse tout noir qui était en fait un short. Elle se mit ensuite à retirer son pantalon sans se soucier du fait qu'il y avait plein de monde autour d'elle. Avec son tee-shirt blanc, son short noir ses baskets et sa queue de cheval elle avait maintenant l'air d'une parfaite touriste. Elle balança ensuite son pantalon plein de crottin à la gueule du Veleno qui l'avait poussée.

« Tiens, c'est cadeau. »

Heureusement qu'il faisait chaud, et son boxer ne lui collait pas trop à la peau si bien qu'il avait presque l'air d'un short. De toutes façons ils n'avaient pas la liste de ses vêtements et de ses sous vêtements alors aucune chance qu'ils captent qu'elle était en fait en culotte. Elle retira ensuite sa main de sa tête et se rendit compte qu'elle saignait. Elle fronça les sourcils et murmura;

« Meerde.. »

Bon. Journée de merde. C'était maintenant officiel. Elle souria quand même intérieurement fière du fait qu'elle avait balancé son jean dégueulasse au Veleno. Mais elle souffrait toujours autant. Le grésillement continuait dans sa tête, si bien qu'elle eut un rictus qui en disait long sur la douleur qu'elle éprouvait. Vive Falcon et ces putains d'élèves de merde. Elle jeta un regard meurtrier à l'élève qui l'avait poussée de sorte que lui seul voie son regard. Des flammes de colères brillaient dans ses yeux. Elle se vengerait. Mais pas trop méchamment non plus elle était sensée être gentille.






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MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyVen 3 Mai - 21:03

« C'pas mon jour... »

Oh god ...
Why.

De toutes les personnes sur cette foutue planète, il a fallu que tu en foute une seule sur sa route et la pire de toutes. La seule femme qui a le don d'irriter rien qu'en rigolant, la seule femme au monde - oublions Aria - sur laquelle Liam ne voudra jamais sauter dessus, même si sa vie devait en dépendre. Cette chose qui n'est pas humaine, mais plus démoniaque qu'autre chose, on l'aurait surement brûlée pour sa façon d'être.
Vile sorcière.

« Elle est pauvre, elle ne vaut rien. C'est une grande blonde, elle trouvera bien un bordel ou se poser. Tu les bordes beaucoup trop, Liam. »

Comment peut-on complètement oublier la présence de la douce et charmante infirmière. Mais où est-ce qu'elle l'a eu son diplôme ? Honnêtement, elle est censée être plus humaine que ça, mais dès qu'elle a la moindre petite occasion d'enfoncer les élèves, elle est présente. Bon sang, c'est vraiment pas facile de se débarrasser d'une plaie pareille, surtout quand on sait le caractère bien digne d'une foutue stupro. Jouer avec elle, ça serait...
Vraiment suicidaire.

« De plus, vous laissez vos élèves se faire agresser par des clochards. Mais qui plus est, vous giflez les velenos pour passer vos frustrations passées. Et ce, en dehors de Falcone, donc en dehors de la juridiction de Mr Cerrucci mais pas celle de la ville. Vous souhaitez peut être que je porte plainte contre vous ? »

Bon sang, faites la taire. Qu'elle se taise, elle et ses conneries digne d'une véritable saloperie de la race humaine. Si dieu devait être présent, ici même, il se demanderait s'il était vraiment sobre lors de la création de cette chose qui se tenait sous ses yeux. Dieu qu'il la hait, qu'il l'exècre. Elle et sa façon d'être. Bordel de merde. Chaque mots de la bible ne suffirait pas pour évaporer toute la colère qu'il ressentait rien qu'en étant en sa présence.

Mais le pire arriva.

L'élève se releva, mais commença à profaner des insultes. Chose qu'une élève ne doit jamais, mais jamais faire en présence d'une adulte. Et ça, même si cet adulte vous crache des insanités en pleine gueule. Et ce n'était pas fini ; cette même élève se déshabilla sous les yeux des autres. Bon sang, ou comment rendre une sortie vraiment difficile.

Avant même de dire quoique ce soit, Liam ôta sa chemise pour la passer à Daphné. Au moins, avec ça et son sorte de short, ça fait un certain style. M'fin, lui et la mode, ça fait trente six. Par la même occasion, il sortit de sa poche un document qu'il montra directement à Miss Hogan. Bras croisés et regard sérieux, il prit à son tour la parole.

« Ce bout papier a été signé par Mr. Cerrucci lui-même, stipulant que je suis le responsable de cette sortie. Donc le moindre accident doit me retomber dessus. Le MOINDRE. » Il précisa bien la chose, puisqu'elle est une adulte, elle doit connaître les règles de l'éducation. « Si vous portez plainte, ça sera aussi envers Falcone, mais oseriez-vous faire ça à votre cher Directeur pour un truc pareil ? Tant que cette sortie n'est pas terminé, vous - l'infirmière - êtes priée de faire ce pour quoi vous êtes payée. »

Il ne baissera certainement pas les yeux face à Precious. Okay, l'image qu'il donne de lui en temps normal n'était pas gratifiant, ni même respectable, mais comme dit précédemment ; les choses sont différentes, il sera différent. Point. Tirant légèrement Daphné vers lui pour montrer la blessure, n'était-elle pas infirmière ?

« Et à ce que je sache, nous - adultes - avons un boulot à faire. Moi, l'enseignement et l'éducation, Mlle Falco la surveillance et vous les soins médicaux. On réglera tout ça plus tard, à l'école, mais pas maintenant. »

Ouh qu'il va regretter. Ouh qu'il va prendre cher. Ouh qu'il sait qu'il va la sentir passer. Rien qu'à se dire le regard perçant et Ô combien effrayant de l'infirmière. Parce que oui, il sait qu'il a raison et que maintenant, tout dépendait d'elle ; voudrait-elle donner une mauvaise image de Falcone en refusant catégoriquement de faire son devoir ?

« Je vous prie, Mlle Hogan. »

La suite, à la suite.
(Dat Logic )

© Codes par Oxymore.
Precious Taijah Hogan
Precious Taijah Hogan
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyVen 3 Mai - 21:42



DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 Tumblr_lsa2oj1GMI1qzdfhlo1_500

What a whore
She's laughing at you, ahah.

Les yeux de Precious sont doux, tandis que Liam la dévisage, et la glace de ses yeux se fait gracieuse. Elle ne veut pas faire peur, elle sourit, sa peau burinée s’étire légèrement tandis que, lui aussi, elle détaille le gamin, ni trop gênée, ni trop gênant. C’est un bavard. Les bavards parlent pour ne pas se dévoiler, et ils ne réalisent pas qu’en parlant, il se dévoile chaque jour un peu plus. Par exemple, Precious sait que c’est le professeur principal des appesos, ancien élève appeso qui avait des soucis avec Leon, un délicieux professeur veleno. De plus, elle apprend vite que Liam ne va pas bien. Les appesos, en règle générale, ne vont jamais bien – c’est ce qui fait d’eux des jouets absolument parfaits pour la grosse méchante qu’elle est – mais celle-ci se montre très instable. Un coup il regarde au loin, un coup il sourit, minable pantomime d’un être heureux. Pour un peu, et Precious se serait sentie triste.
Precious sourit, calme.
Confiante.

Si Precious avait eu un cœur, elle aurait sûrement trouvé Liam touchant, peut-être même mignon. C’est vrai qu’il avait l’air fichtrement innocent, et mal dans sa peau, aussi. Il se voulait dragueur, mais n'y arrivait jamais. Et c’était ce manque, ces pathétiques tentatives qui le rendaient adorable aux yeux de tous… Sauf de Precious. Au contraire, elle le trouvait simplement ridicule, et le dégoût qu’il lui inspirait amenait Precious à se retenir difficilement de taper dessus, de le secouer, de le frapper avec ses mots.
C'est à partir de là que tout se dégrada. Que Daphné se déshabillait, pauvre enfant. L'autisme était-il le fruit du diable que devait payer les appesos ?

« Miss, à qui est ce que vous parlez ? Nous devons tous fermer nos gueules ? Fort bien, ma gueule vous retire 100 points aux appesos. L'irrespect est cher payé de nos jours. »

Passons à l'autre.
Precious, toujours aussi calme, toujours aussi sourire.
« Si vous portez plainte, ça sera aussi envers Falcone, mais oseriez-vous faire ça à votre cher Directeur pour un truc pareil ? Tant que cette sortie n'est pas terminé, vous - l'infirmière - êtes priée de faire ce pour quoi vous êtes payée. »

« Hm… Vous êtes payé pour gifler vos élèves ? Pourquoi ne pas vous excusez auprès de Mr Bates ? Quoiqu'il en soit, tout deux savons que je n'aurais aucun mal à foutre Falcone à terre pour vous voir ramper. »

Nouveau sourire, large et franc cette fois. Elle ne mentait pas. C’était la victoire incarnée dans une expression et, c’est sans aucune hésitation qu’il se reculera.
« Êtes vous sûr de jouer à ça avec moi ? »

Elle faisait peur, si peur. Et, elle laissa cette atmosphère morbide planer quelque temps avant de le repousser loin d'elle, pour le laisser respirer, pour mieux aller le rechercher après.

« Je vais donc faire mon job et m'occuper de cette trainée. »

Un sourire sarcastique. Ils étaient deux, ici, à être conscients que le mal était déjà fait, et que Precious ne changerait jamais. Elle en aurait presque ricané, si le son sortant de ses lèvres avait pu être autre chose que ridicule. A la place, elle ramena son bras, au bout duquel la légère Daphné ne pouvait rien faire. Glissant lâchement sa main dans sa tignasse la tirant à elle, pour la foutre à terre. Elle était trop forte, elle l'avait toujours été, et si elle n'avait pas été si mauvaise, elle aurait presque pu être une forteresse imprenable. Elle était piégée. Doucement, Precious jeta un regard presque tendre à Liam. Doucement, elle se pencha vers son oreille, vers le creux de son cou, respirant sa peur et son effroi comme un chien respire une proie. Et, très délicatement,elle lécha doucement l'oreille de Precious. Sensuel.

« Je soignerais vos appesos que lorsqu'ils m'embrasseront les pieds, un à un. Vous y compris. Sinon, vous ne jouirez plus de mes services. »
Parfaite.

Daphné J. Moreau
Daphné J. Moreau
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptySam 4 Mai - 11:38


Dieux de l'arène.
CODAGE - EXCEPTION DE LG


‘‘ Trainée? Non mais pour qui elle se prend 'lautre pute là? J'vous jure si c'était une élève je lui aurait arrachées les dents une à une, les ongles un à un, ses cheveux de merdes et je lui aurait fait bouffer son putain de sourire hypocrite de merde. Elle allait sortir quelque chose de pas très poli quand l'infirmière mit sa main dans ses cheveux et la tira au sol. Le gravier se rapprocha dangereusement de sa tête et elle eut le bon réflexe de placer ses mains devant son visage, ce qui l'empêcha de se cogner à nouveau le crâne par terre. Le grésillement était toujours présentant à l'intérieur de sa tête. La tête face au sol elle prononça quelque chose qui ressemblait à;

« Gnrblradu_ezfze....»

Quand le voix de l'autre garce lui arriva jusqu'au oreilles, elle serra les points de rage. Les Appesos ne baiseraient jamais les pieds d'une pute comme ça. Elle leur avait retiré 100 points par sa faute? Tant pis, elle était une des seules à se bouger l'cul pour faire monter les verts, elle se rattraperait. Elle tenta donc de se relever dignement après que l'autre pute eut fini de péter sa crise. Elle se prenait pour une reine ou quoi? Connaaaaasse. Elle serra le poing droit tandis qu'elle se tenait la tête avec la main gauche. Ses ongles se plantèrent dans sa paume, elle expira et dit calmement.

« Booooooooon.. elle soupira doucement, quelle pensionnat de fou j'me tire de là avant que ça dégénère. »

Puis elle fit demi-tour, ayant toujours sur elle la veste de Mr' O'Neil. Elle fit un sourire froid et mesquin en passant à côté du certain Mr. Bates qui avait toujours son pantalon dans les mains et s'en alla, en short et avec du sang séché. Elle passa à côté d'une fille qui la détailla de haut en bas avant de faire une grimace. Agacée par le fait que l'on la reluque H24, Daphné attrapa la fille par le col et la toisa de toute sa hauteur tandis que ses yeux violets brillaient de rage.

« Problème? »

Elle la relâcha ensuite puis partit de l'autre côté du Colisée, ne voulant plus croiser un seul de ces putain de Velenos ni de cette pute d'infirmière de merde. La guerre était déclarée. Sa vengeance serait terrible, les Velenos souffriraient TOUS. Et Precious aussi. Pauvre pute va. Une fois arrivée de l'autre côté du Colisée, elle shoota dans un caillou en grommelant;

« Rgnbllbrgreb pensionnat de merde, gosses de riches pourris gâtés qui ne connaissent pas la valeur des choses..»

Bon, au moins elle ne s'était pas jeté sur l'infirmière pour la frapper comme elle en mourrait d'envie. Ce qui était la preuve qu'elle commença à garder son sang-froid.






Noah C. Bates
Noah C. Bates
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptySam 4 Mai - 14:18


Uh oh...


Ren est là! Oh je suis tellement content, cette sortie allait être chiante mais maintenant tout va b… Eh ? Je ne comprends pas tout de suite, mais d’un coup, quelque chose ou quelqu’un m’a attrapé et m’a giflé violemment, je suis complètement sonné. Qu’est-ce qu’il se passe ? Un espèce de bourdonnement sourd me bouche une oreille, je regarde dans le vide, un peu partout avant de me rendre compte de la présence de Mr. O’neil près de moi. Je vois ses lèvres bouger mais je n’entends rien, je ne distingue pas ses mots, juste un tintamarre assourdissant et sans aucun sens. Mais le bourdonnement se dissipe peu à peu et des mots commencent à se former distinctement, oh, mais il y a aussi l’infirmière, Mlle Hogan. Mais qu’est-ce qu’il se passe ?

« …pendant deux mois, vous serez de corvée dans le quartier des Appeso, vous aller nettoyer chaque chambres, chaque douches, chaque. Ou alors je vous retire 120 points pour fréquentation avec un élève d'un autre groupe. Vous choisissez. »

Je secoue légèrement la tête, tentant de reprendre mes esprits, avant de marmonner sans vraiment m’en rendre compte, plus pour moi qu’à Mr O’neil directement.

« Uhn… mais si vous m’enlevez 120 points pour fréquenter Ren… ne devriez-vous pas enlever 120 points aux Appesos également… ? »

La question n’était pas vraiment là, mais c’est juste que sur le coup, ça me paraissait logique… A quoi bon vouloir me punir pour mon choix d’amis, tentant de désavantager mon groupe, si ça désavantageait également le groupe dont Mr O’neil était le professeur principal ? Ça me dépasse.

« Pourquoi ne pas retirer des points à Daphné ? Elle est aussi fautive que Mr Bates, après tout, elle manque cruellement de coordination pour être tombée aussi bêtement. On devrait punir la stupidité. »

C’est malheureux mais cette remarque m’arrache un petit gloussement de rire, alors qu’en temps normal je n’aurais jamais osé rire d’une remarque aussi… méchante. Faut croire que l’influence des Velenos commence à m’atteindre moi aussi… non ! Je refuse ! Je ne veux pas devenir un petit gamin pourri gâté comme tous les autres, d’accord, j’ai fait une erreur, et j’en assumerais les conséquences, même si je remercie l’infirmière de son intervention. A force de réfléchir, je n’écoute même plus la discussion en cours, Mlle Hogan et Mr O’neil ont l’air de se disputer de toute façon… Mais d’un coup quelque chose se dirige vers moi, Daphné, la blonde que j’ai poussée sauvagement, m’envoie son pantalon dans la figure et, en un geste purement réflexe, je le repousse rapidement avec un air de dégoût. Ah celle-là, alors que j’allais m’excuser… Si j’en avais sur moi, je lui aspergerais la gueule de parfum.

Mais je suis trop lent, je n’ai pas eu le temps de prendre la parole que Daphné n’est plus là. Et bien tant pis pour elle, mes excuses, elle n’entendra pas ! Je m’interpose entre le professeur et l’infirmière et, en une grande inspiration, prend la parole.

« Je m’excuse. J’assumerais toute responsabilité de mes actes et serais de corvée dans les dortoirs appesos pendant .. euh… deux mois c’est ça ? Deux mois. Je réfléchirais à deux fois avant de vouloir reproduire un acte d’une telle immaturité, même si Daphné me donne envie de vomir. »

Oups… ça, c’était peut-être un peu trop franc. Mais j’y peux rien après tout, les femmes me dégoutent, elles me font peur, elles sont maléfiques !


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MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyDim 5 Mai - 2:39

« C'pas mon jour... »

Désespoir total.
C'est la seule et unique chose qui vint en tête de Liam après sa petite confrontation avec Precious. Il savait qu'il allait le regretter, il savait que ses mots étaient déplacés, ainsi que son geste. Mais si les autres adultes peuvent s'autoriser des abus ; pourquoi pas lui ? God, non. S'il commençait à penser de la sorte, il n'allait plus pouvoir se regarder séreinement dans une glace. Maintenir le cap, maintenir son calme. C'est tout ce qu'il peut faire.
Pour le moment.

Voir et écouter l'infirmière lui faire la morale ; pour ensuite faire pire. Ca, c'était une chose qu'il avait du mal à encaisser, surtout que bon. Quand on se permet de faire la morale, c'est certainement pas pour la foutre en l'air deux secondes après. Ne venait-elle pas de lui que frapper un élève, c'est mal ? Mais une gifle n'est rien en comparaison avec ce qu'elle venait de faire à une blessée. Mais bon sang, pourquoi Cerrucci engage-t-il tout et n'importe quoi ? Est-ce que ça l'amusait tant que ça, de voir les jeunes souffrir à ce point ?
Bordel.

« Êtes vous sûr de jouer à ça avec moi ? »

Et toi ?
Es-tu sûre de vouloir voir de quoi un Appeso est réellement capable, lorsqu'il est sur le point de céder à l'envie d'éradiquer quelqu'un ? Criez, hurlez et rigolez tant que ça vous chante, sauf que le jour où lui, ce type sous-estimé et rabaissé, décidera enfin de tout foutre en l'air juste pour avoir le plaisir de vous voir ramper comme les rats que vous êtes tous intérieurement ; vous allez pleurer. Car même si les bases religieuses sont incrustées dans ses veines, sa mère ne lui a jamais dit de se laisser faire face à une personne foncièrement mauvaise.
C'est ce qu'il avait sous les yeux.

« Je soignerais vos appesos que lorsqu'ils m'embrasseront les pieds, un à un. Vous y compris. Sinon, vous ne jouirez plus de mes services. »

Son geste, sa façon de parler, tout était prompt à la provocation. Et il y répondit, à cette provocation. Profitant de sa proximité, il empoigna sévèrement le fessier de l'infirmière pour mieux la garder ainsi contre lui. De part sa poigne, elle pouvait sentir Ô combien il était irrité, énervé et agacé. Encore heureux, dans une foule, ce geste est plus discret qu'autre chose.

« Si ça t'amuse d'être aussi garce, grand bien te fasse, mais je te prierais de ne pas te déchaîner sur mes gosses. » Il la relâcha et n'attendit pas bien longtemps pour s'autoriser à lui prendre une trousse de soin. Peut-être qu'il n'avait pas eu le droit à des études de médecine, mais se blesser pour mieux se soigner, il y a déjà goûté. « Puisque tu sembles médisante sur cette affaire, je vais en finir moi-même. »

Elle pouvait au moins faire ça ou c'était trop pour son petit cul de midinette ? Liam avait horreur de parler de la sorte, d'agir de la sorte et de se laisser doucement aller à la colère. Mais plus il se contenait, plus il coulait.
Cercle vicieux à la con.

Vint alors les mots de Noah, qu'il écouta bien malgré lui. En effet, s'il avait retiré 120 points à un Veleno, il aurait fait la même chose pour son appeso. Mais tant pis. Énervé comme il était et surtout pris de court par ce qu'il ressentait, Liam était tout à fait prêt à sacrifier son élève pour en faire couler un autre. Là encore, il s'est déçu lui-même. Mais ... Encore une fois, tant pis. Tout est de sa faute à lui.

Vite, il faut s'éloigner.

Il tenta alors de retrouver Daphné. Sa plaie n'a pas été correctement nettoyée, ni même soignée. Alors bon, la laisser ainsi n'était vraiment pas une idée à tolérer. Une fois qu'il la repéra, il s'approcha. Sachant que cette fille mesurant plus d'un mètre quatre vingt était sur les nerfs, vaut mieux éviter de se la jouer grosse surprise.

« Mlle Moreau, veuillez vous laisser faire, s'il vous plaît. »

Un truc qui allait obliger la grande blonde à être facile d'accès afin qu'il puisse s'occuper d'elle, comme un bon prof se doit de faire. Il s'agissait de quoi, là ? Rien de bien énorme. Une simple plaie à désinfecter puis à panser. Si seulement il avait du doliprane pour un possible mal de tête, il serait déjà présent. Mais bon, c'est pas comme si qu'il avait prévu tout ça.
Quelle merde.

« Je te demanderais de m'excuser, j'ai été bête ... »

De quoi ? D'avoir répondu à l'infirmière ? De lui avoir rappelé son rôle dans tout ça ? Ça serait con de s'excuser pour une chose qui paraît logique. Vaut mieux ne pas coltiner de Stupro ou de Veleno encore longtemps. Ça serait... Emotionnellement éprouvant.

« Attention le pansement arrive. »

Appliqué le plus délicatement possible. Bien trop douillet avec ses élèves. Et visiblement, c'est ce qui va lui coûter cher.
Pauvre gars, va.

© Codes par Oxymore.
Precious Taijah Hogan
Precious Taijah Hogan
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyDim 5 Mai - 13:35



DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 Tumblr_lsa2oj1GMI1qzdfhlo1_500

What a whore
She's laughing at you, ahah.

Precious devait bien le reconnaître : ce petit professeur était fort amusant, et elle se plaisait à jouer son petit jeu avec. L'infirmière, en règle générale, appréciait toujours un petit jeu de manipulation, avec n’importe qui. Elle l’aimait encore plus quand elle se trouvait en présence d’un mâle, et que tout tournait autour de la séduction. Et, avouons-le, c’était l’extase quand le mâle en question était aussi ravissant que pouvait l’être Leon. Enfin, loin d'être du même style l'un que l'autre. Oui, elle appréciait les évènements, et comptait les prolonger le plus longtemps possible. Sournoisement, donc, elle l’observa, l’analysant comme pourrait le faire un ordinateur. Elle était plongée dans le doute, et lui était sûr de lui, sûr de son pouvoir. Ensuite, fragile comme un pétale de rose, elle reviendrait sans nul doute pour obtenir de lui de l'aide, ou que sais-je. Après tout, Liam n'était pas connu pour être un homme pieu. C’est à ce moment qu’elle frapperait.
Mais actuellement.
Il l'agaçait.

Mais elle n’en était pas encore là. Pour le moment, elle hésitait, louvoyait, l’évitait, filant entre ses doigts quand il pensait enfin l’avoir. Alors, il l'attrapa. Contre sa volonté, avec sa plus grande surprise. Une ivresse inconnue et rageuse s’empara du Precious – elle perdait son contrôle, c’était mauvais signe – qui plongea dans le bassin avec une souplesse et un sex appeal déroutant. Sans le moindre remous, elle remonta lentement sa jambe contre la jambe du jeune homme; plaçant son genoux là ou un homme n'aimerait jamais en avoir là. Elle le saisit à la gorge et, tandis qu’elle refermait son étreinte, une curieuse sensation la traversa. De surprise, elle écarquilla les yeux, relâcha son étreinte, et fit la chose la plus étrange qu’elle n’avait jamais faite : elle toussota. Precious détestait perdre. Mais Precious détestait par dessus tout perdre le contrôle de la situation.

« Je ne me déchaine pas sur 'tes gosses', se sont tes chiens qui ne savent pas se tenir devant les adultes. Matte-les et j'aviserai. »

Le dernier mot avait été murmuré dans son oreille. Elle remonta son genou, pressant sa poitrine contre son torse musclé. Il aurait pu lui faire tellement de chose dégoutantes – pour elle comme pour lui. Mais elle ne le ferait pas. Pas si elle acceptait sa défaite, par le silence, par une reconnaissance quelconque. Parce que ce que Precious aimait le plus, c’était briser les gens. Au moindre faux pas, il perdrait l'usage de son entrejambe.

« Le plus drôle dans cette histoire étant que je fasse ton job et toi le mien. »

Vite, il la relâcha.
Vite, elle remit l'ordre à ses vêtements.
Allons Liam, reviens ici, laisse-toi faire ! Tu ne risques rien de plus qu’une sardine près des filets de pêcheurs. Mais non, il lui tourne le dos, fait mine de s’éloigner. Allant probablement aider l'idiote de service… Avec ses produits médicaux. Choses qui ne passeraient pas, du moins, avec Precious. Elle passa derrière lui, prit la trousse de soin; toute sourire.

« Démerde-toi avec elle. Mais tant que mes godasses n'ont pas été baisées comme voulu, tu n'auras ni mes services, ni mes trousses de soins. »

Une constatation, qui amenait forcément une suite plutôt désagréable.

Aria Falco
Aria Falco
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyLun 6 Mai - 14:11

Dieux de l'arène.

"Saleté de dragon"

Aria écouta avec attention la nouvelle explication de London, tout en mangeant son biscuit. C'est donc le SDF qui l'avait agressé, et elle était simplement aller l'insulter en retour... C'était assez logique vu comme ça. La brune tourna son regard vers le dit SDF et retint sa description, elle irait tout à l'heure en parler à la direction du site touristique et à la police. Enfin, elle comprenait mieux la pâleur de la jeune fille. Se faire ainsi agresser était toujours un peu traumatisant, il n'y avait rien d'étonnant à cela. Elle posa une main sur son épaule, avec douceur.

- Ne t'en fais pas, j'irai moi-même en parler à la direction et à la police. En tout cas, tu devrais aller te greffer à un groupe d'élève, ou si tu veux tu peux rester avec moi si tu as peur.

Aria s'attendait à ce qu'elle refuse, question de fierté, mais ce serait quand même mieux et plus prudent. Il y avait une telle foule, n'importe qui pouvait se faire agresser sans que personne ne s'en aperçoive. D'ailleurs en parlant d'agression... La surveillante aperçut un peu plus loin qu'il y avait du grabuge.

Elle n'avait pas tout vu, mais Liam était avec Ren Fumitake, Noah Bates, Daphné Moreau et cette salo...l'infirmière Hogan. Apparemment, Liam se disputait avec l'infirmière, et Daphné ne semblait pas bien, mais la surveillante ne pouvait pas entendre ce qu'ils se disaient. Mais...Mais elle venait de mettre Daphné à terre l'autre connasse !! C'était quoi ce cirque encore ?! Elle soupira et se leva du banc, se tournant vers London.


- Désolé, il faut que j'aille voir ce qu'il se passe...

Elle prit un bout de papier et écrivit son numéro de téléphone dessus puis le tendit à la jeune fille.

- Appelle moi si tu as à nouveau un soucis ou si tu veux que je te rejoigne.

Puis elle la laissa sur le banc. Quand elle arriva à la hauteur du petit groupe, Liam était partit retrouver Daphné qui s'était enfuie un peu plus loin. En passant, Aria ne se gêna pas pour bousculer Precious. Encore une adulte qui ne méritait pas ce terme.

- Dégage de là dragon, on a pas besoin d'une infirmière aussi inutile...

Puis elle alla rejoindre Liam et Daphné. Oui, Precious était comme un dragon, maléfique et cracheur de feu. En bon chevalier, Aria ferait tout pour protéger ses élèves et Liam de ce dragon avec son armure, même si le combat était rude. Elle alla donc rejoindre le professeur et l'élève et l'aida à soigner la jeune fille. Elle sourit un peu à son ami.

- Tu es courageux de t'attaquer à elle... Tu aurais dû m'appeller au secours...


London Howell
London Howell
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptySam 11 Mai - 16:22






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▬ Runaways

DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 1367404492-sans-titre-1

LH. Je ne l'écoutais qu'à moitié après avoir perçu quelques mots qui confirmaient qu'elle avait gobé mon pseudo mensonge comme je l'avais espéré. Je hochais la tête en sa direction pour acquiescer, même si l'entendre dire que je devrais rester avec d'autres gens m'était vraiment désagréable. J'étais encore capable de me protéger toute seule ! Certes, cet incident avait eu lieu. Certes, ça aurait pu être pire. Mais après tout, j'étais encore vivante. Je n'avais besoin de personne pour assurer ma protection, et l'idée même d'arpenter les lieux avec d'autres élèves me révulsait. Je n'allais tout de même pas être contrainte à dire des banalités et converser avec des gens que je ne connaissais pas (et donc que je n'appréciais potentiellement pas) pour êtres protégée. S'il le fallait, je demanderais à avoir un garde du corps pour les prochaines sorties.

▬ Merci madame. Je vais voir si je trouve d'autres élèves.

Je ne pouvais pas lui dire qu'il était hors de question pour moi de rejoindre des gens de mon age afin de visiter ce tas de vieilles pierres. Surtout qu'il y avait peut être dans le lot un ou deux élèves qui m'avaient fait un coup bas. Elle m'aurait posé des questions et je n'allais sûrement pas pouvoir m'en sortir avec d'autres mensonges.

La situation devint plus intéressante lorsqu'elle détourna son attention de ma personne pour la diriger vers une source d'agitation que je n'avais pas remarqué. Je suivis son regard des yeux et tombais sur quelques élèves, le professeur de la sortie et une dame que je ne connaissais pas. Il semblait y avoir dispute. Je devais aller voir ! Enfin cette sortie prenait un aspect plaisant. Néanmoins, je pouvais difficilement sauter sur mes pieds et foncer sur le groupe afin de faire ma petite commère... Vu que je n'étais plus seule sur mon banc. Par chance, la curiosité de la surveillante fut égale à la mienne, et elle déclara vouloir aller jeter un œil à l'animation.

Je pris le numéro.

▬ Aucun problème.

J'attendis qu'elle ait fait quelques mètres pour la suivre et restait légèrement en retrait du groupe. J'étais juste assez près pour les entendre parler, et juste assez loin pour ne pas trop me faire remarquer. Lorsque je compris qu'il s'agissait plus ou moins d'une Appeso tombée dans du crottin de cheval grâce à un Veleno, j'eus un petit ricanement. Je lançais dans le vide :

▬ C'est ce que j'appelle un retour aux sources réussi.

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Invité
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyDim 12 Mai - 15:48




« C'pas mon jour... »

Okay.
Très bien.
C'est tout ce que Liam pouvait répondre face à la bêtise d'autrui. Pourquoi s'entêter ? Pourquoi continuer ? Pour aggraver la chose ? Provoquer un conflit qui fera que rendre les choses plus difficiles ? Ça l'énervait, ça le foutait sur les nerfs, mais tant pis. C'était ainsi et pas autrement. Il aurait dû réfléchir, c'était sa faute et si franchement - il y a un peu de justice - il serait puni.
Que la faute vienne à lui.

Même le réconfort de son amie ne font aucun effet. Elle a eu quoi en échange, un simple sourire ? Puis le retour de la mine dépitée. Bordel, même pas une heure de sortie et c'était déjà la merde. Dire que cette dernière devait durer trois heures, elle va être écourtée, fort malheureusement.

« Bon, va dire aux élèves qu'ils ont encore une heure pour bien profiter de tout ça. Ensuite ils rejoignent l'auto-car et on rentre tous. Le départ sera donc dans une heure et demi, environs. »

Que faire ? Déjà ne pas s'énerver, ça serait une grande victoire contre lui-même. Ensuite, garder Daphné près de lui, l'embarquer à l'infirmerie juste à côté de l'accueil pour qu'elle se fasse soigner et ainsi la protéger de Precious et de ses envies de femmes chasseresses. Aria ? Elle doit juste se contenter d'écouter les instructions et de veiller à ce qu'aucun autre accident surgisse.
Sinon là, oui, ça va mal finir.

« Encore une heure, mlle Moreau. »

(Postez tous encore une fois, puis le sujet sera clôturé o/ )

© Codes par Oxymore.
London Howell
London Howell
MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 15:30






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▬ Runaways

DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 1367404492-sans-titre-1

LH. Une heure ? C'était donc moins long que ce que j'avais imaginé. Est-ce à cause de tout cette agitation ? Très certainement. Voilà qu'elle me souriait de nouveau.

Je me suis assise de nouveau sur un banc, stratégiquement moins dangereux cette fois ci, puis j'ai attendu une heure. Ces soixante minutes sont passées rapidement puisque j'avais de quoi m'occuper l'esprit. Rien que l'Appeso couverte de crottin était un spectacle qui se valait de continuer après la fin. "Encore, Encore, Encore" c'est ce que j'avais eu envie de crier en frappant dans mes mains. Je me suis retenue bien évidemment. De toute évidence, ça n'aurait pas été bien reçu. Bande de rabats joies.

Raisonnables, les élèves se sont rassemblés. Il y avait certes quelques retardataires mais les accompagnateurs ont vites réussis à mettre la main dessus et nous sommes repartis comme nous étions venus. A la seule différence que l'ambiance n'était plus ce qu'elle semblait avoir été.

Au moins tous les élèves du groupe avaient une raison de ne pas être contents : Ceux qui avait reçu un coup bas, ceux avec qui la vie est naturellement malveillante (et je précise que dans mon cas, c'est un coup bas), et ceux qui n'appartiennent pas à ces catégories et qui auraient par conséquent mérités quelques minutes de liberté supplémentaire.

L'auto-car démarrait et s’éclipsait beaucoup trop rapidement à mon gout... Vers ma prison de maison. Je m'arrangerais pour sortir seule, plus tard. Au moins, il faut positiver : Je vais pouvoir prendre une douche !
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MessageSujet: Re: DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. DIEUX DE L'ARÈNE ▬ C'est nous, coucou | Libre. - Page 2 Empty

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